Ce fonds témoigne de l’apport indéniable du Dr J.H.L. St-Germain à la profession et à son organisation au moment de la création du Collège des médecins de la province de Québec, grâce à son implication dans l’Association médico-chirurgicale du district de Saint-Hyacinthe. Il s’illustre en tant que rédacteur et conférencier, non seulement sur la médecine, mais également sur un de ses loisirs préférés durant ses dernières années de vie, soit l’histoire de Saint-Hyacinthe. Membre par alliance de la réputée famille Papineau-Dessaulles par son épouse Nancy Morison, il est un témoin privilégié de l’évolution de la ville de Saint-Hyacinthe et s’implique même dans la vie politique à titre d’échevin. Grâce à ses fréquentations avec les Dr Séraphin Gauthier (père et fils), il aura l’opportunité de connaître Wilfrid Laurier, qui sera d’ailleurs témoin à plusieurs événements familiaux dont le deuxième mariage de J.H.L. St-Germain avec Marie-Anna Prince, le mariage de sa fille Émilie avec J.C. Séraphin Gauthier (fils), ainsi que lors des funérailles du Dr St-Germain en 1893. Les séries présentent donc les principaux sujets qui touchent à la vie personnelle et professionnelle de J.H.L. St-Germain, son implication sociale et sa production littéraire. On retrouve des souvenirs de famille, de la correspondance avec des amis et des professionnels, plusieurs communications reliées à sa pratique médicale et particulièrement sa contribution à l’Association médico-chirurgicale du district de Saint-Hyacinthe et à l’hygiène publique, quelques documents relatifs à son implication dans l’administration municipale et une volumineuse documentation manuscrite sur les recherches historiques de J.H.L. St-Germain qui se considère comme un témoin privilégié de l’évolution de Saint-Hyacinthe au XIXe siècle. On trouve également une riche collection de photographies des membres des familles Papineau, Dessaulles, Morison, St-Germain, Gauthier et Prince de la fin du XIXe siècle, du célèbre Louis-Joseph Papineau à la cantatrice Éva Gauthier, témoignant visuellement des notables de Saint-Hyacinthe et de la région d’Arthabaska.

Ce fonds témoigne de la débrouillardise de la population de Saint-Simon, qui démarre une entreprise de service téléphonique pour mieux communiquer autant localement qu’avec les autres municipalités environnantes, dont Saint-Hyacinthe. Malgré son affiliation avec une compagnie-mère, l’entreprise demeure autonome au niveau de son fonctionnement quotidien, transigeant avec la population et les intervenants du milieu, dont la Compagnie Bell du Canada et la Régie des services publics du Québec. Le fonds regroupe la documentation administrative de la Ligne téléphonique des cultivateurs de Saint-Simon, comprenant les livres de délibérations, des documents légaux, ainsi que des contrats et ententes. On trouve aussi une volumineuse documentation financière, incluant les états financiers et rapports annuels, registres comptables, relevés de comptes, factures et relevés d’abonnés, comprenant les appels locaux et longue distance. Finalement, le fonds comprend de la documentation sur la vente de l’entreprise en 1966.

Ce fonds est divisé en trois séries qui témoignent de la vie personnelle et professionnelle de Jean-Baptiste Phaneuf. La première série comprend des éléments relatifs à sa vie personnelle, comme des documents photographiques de sa vie étudiante au Séminaire de Saint-Hyacinthe, ainsi que de membres de sa famille. Nous y retrouvons également de la correspondance familiale et des notices biographiques de certains de ses ancêtres. La seconde série porte sur la vie professionnelle de Jean-Baptiste Phaneuf. Elle contient divers documents en lien avec ses années de pratique et d’enseignement de la médecine vétérinaire. La troisième et dernière série porte sur les conférences et les recherches faites par Jean-Baptiste, dont quelques-unes concernent les rues de Saint-Hyacinthe et d’autres la région de Saint-Denis-sur-Richelieu.

Ce fonds est divisé en cinq séries qui témoignent de la vie personnelle et professionnelle, ainsi que de l’implication sociale des membres de la famille Payan. La première série porte sur la vie personnelle de plusieurs membres de la famille Payan et comprend de la documentation à caractère généalogique sur les familles Duclos et Payan, ainsi que des photographies nous montrant plusieurs clichés de la famille de Paul Payan lors de différents événements, d’Eugene Payan à plusieurs époques, d’événements marquants à Saint-Hyacinthe et Saint-Pie, ainsi que plusieurs négatifs provenant d’un album de photographies appartenant aux descendants de Paul Payan. La seconde série témoigne d’une parcelle de l’histoire de la Tannerie Duclos & Payan et comprend des archives liées à l’administration et à des événements, dont certaines photographies. La troisième série témoigne de l’implication financière de Silas Duclos et Paul Payan dans la Compagnie des pouvoirs hydrauliques. Eugene Payan, de son côté, s’est impliqué dans la Southern Canada Power. La quatrième série témoigne de l’implication des familles Duclos et Payan dans l’organisation de l’église presbytérienne Saint-Jean de Saint-Hyacinthe. On y retrouve notamment des photographies des vitraux à l’intérieur de l’église presbytérienne Saint-Jean de Saint-Hyacinthe et de la Sainte Bible appartenant à la famille Payan. La dernière série témoigne de l’histoire de l’émigration des Payan au Canada et de la reconnaissance publique de certains membres de cette famille, soit Paul et Eugene Payan et leur entreprise commerciale, la Tannerie Duclos & Payan. On retrouve une biographie publiée par l’Association « À la recherche des Payan » ainsi que des articles et coupures de presse.

Ce fonds est divisé en deux séries qui témoignent de la vie administrative et financière de l’Association diocésaine des Commissions scolaire du diocèse de Saint-Hyacinthe. La première série comprend les documents constitutifs de l’Association, comme les lettres patentes et les statuts et règlements. Également, on y retrouve les documents relatifs aux assemblées statutaires de l’Association, comme les procès-verbaux des Congrès diocésains, des Assemblées générales annuelles et des Assemblées du conseil d’administration. On y retrouve aussi un mémoire présenté par l’Association au ministre de l’Éducation, M. Jacques-Yvan Morin, exposant ses commentaires sur les orientations du Livre vert : « L’enseignement primaire et secondaire au Québec » et des documents relatifs à la Loi des renseignements sur les Compagnies du Gouvernement du Québec. De même, on retrouve des documents relatifs aux ressources humaines et aux membres de l’Association. D’autres documents portent plutôt sur la dissolution de l’Association. Un dossier regroupant des photographies des administrateurs de l’Association complète la première série. La seconde série comprend des documents relatifs à la budgétisation et aux registres comptables de l’Association. On y retrouve aussi des documents relatifs aux contributions et aux journaux de paie de l’Association, ainsi que des documents relatifs aux cotisations des membres. D’autres documents portent sur les dépenses de l’association, notamment sur les appels d’offres et les soumissions pour l’huile à chauffage. La seconde série regroupe également des documents relatifs aux opérations bancaires, aux assurances, aux impôts et aux taxes de l’Association. Les bilans, rapports et états financiers annuels complètent la seconde série.

Ce fonds témoigne de tout un pan de l'histoire sociale de grandes familles de Saint-Hyacinthe, Montréal, Saint-Denis, Saint-Ours et Ottawa. Constitué en grande partie d’une riche correspondance entre plusieurs générations d’individus liés de près ou de loin aux familles Laframboise et Dessaulles, Saint-Jean et Larue, mais aussi Blondeau, Côté, Fréchette, LaMothe, Loranger, Malhiot et Papineau, on y discute de vie privée ou publique, de familles ou d’affaires, et cela de la fin du 18e au début du 20e siècle. On retrouve aussi de la documentation sur la vie personnelle et professionnelle de Louis Laframboise, dont ses études, son voyage en Europe, ses recherches généalogiques, ses relations amicales, son implication au sein du journal Le National, ainsi que sa carrière dans la fonction publique fédérale. Un grand album souvenir, probablement créé par Alphonsine Saint-Jean, regroupe de nombreux documents anciens, coupés et collés à l’intérieur de l’album, ainsi que plusieurs photographies des années 1890 qui sont également collées et malheureusement non identifiées, quoique l’on puisse figurer l’identité de certains personnages. Les photographies comprennent également des portraits d’Emma Beaudry, qui devait épouser Louis Laframboise, ainsi que Georges-Casimir Dessaulles lors de l’inauguration de la Porte des anciens maires en 1927, le Dr Pierre Saint-Jean et le couple Lévi Larue et Nophlette Brazeau, grands-parents d’Alphonsine Saint-Jean. Les objets sont des cheveux gardés en souvenir par Alphonsine.

Le fonds témoigne de la vie parlementaire du député de Saint-Hyacinthe. On y trouve des documents portant sur son implication au sein du Parti québécois, sur ses activités de représentation de la circonscription, sur ses relations avec les citoyens, organismes, ministères et collègues et sur ses réalisations comme député de Saint-Hyacinthe. Le fonds témoigne également des interventions de Léandre Dion lors de travaux parlementaires, de ses fonctions comme adjoint parlementaire ainsi que sa présidence de la Commission de l’agriculture, des pêcheries et de l’alimentation. Le fonds contient principalement des communiqués de presse; de la correspondance; des coupures de presse; des civilités; des invitations; des documents de communication de réunion et d’information; des dossiers de subventions; un certificat de mérite; des plaques de remerciements.

Ce fonds témoigne de la vie personnelle et professionnelle de Joseph-Napoléon Beaudry, prêtre séculier qui œuvra au sein du Collège Sainte-Marie de Monnoir, où il avait étudié, avant de partir pour Montréal puis aux États-Unis. Le fonds regroupe des documents personnels de l’abbé Beaudry, de quelques membres de sa famille dont François Beaulac, qui était probablement apparenté à la deuxième épouse de son père, Céleste Beaulac, ainsi que plusieurs documents relatifs à la succession de l’abbé Joseph-Napoléon Beaudry, décédé prématurément à l’âge de 48 ans. On retrouve aussi de la correspondance durant sa cure à Redford; des attestations officielles; des reliques de poussière des tombeaux de saint François et sainte Claire d’Assise; deux attestations de citoyenneté américaine dont une est écrite en langue arabe; ainsi qu’une photographie d’une statue de sainte Philomène. Finalement, le fonds contient deux livrets de la First National Bank, où Joseph-Napoléon Beaudry possédait un compte.

Ce fonds témoigne de la vie personnelle et professionnelle de Joseph Beaudry, prêtre séculier qui fit sa marque à la paroisse Sainte-Victoire de Sorel. Le fonds contient plusieurs documents financiers, dont des factures, des relevés de comptes et même une lettre de sollicitation d’argent de la Railway Signal Company of Canada. On trouve aussi un dossier sur le règlement de la succession de l’abbé Joseph Beaudry, comprenant une liste de ses biens matériels, des factures et des règlements financiers.

Ce fonds témoigne de la vie administrative et scolaire de l’École de laiterie de Saint-Hyacinthe. Outre quelques documents administratifs, plusieurs documents témoignent de la vitalité de l’institution par la qualité de ses enseignements et l’expertise développée au sein de ses laboratoires, ce qui permettra à Saint-Hyacinthe de devenir un pôle agricole important. Les dossiers comprennent aussi de la documentation sur la construction du deuxième édifice de la rue Dessaulles (anciennement Héloïse), sa transformation, sa nouvelle vocation et son inscription sur la courte liste des monuments historiques de Saint-Hyacinthe quelques années avant sa destruction par les flammes. Finalement, on retrouve des documents publiés par la Société d’industrie laitière de la province de Québec, qui chapeaute l’École de laiterie, ainsi que certaines publications de l’industrie laitière qui démontrent la place importante qu’a pu avoir cette institution au niveau national.

Le fonds contient des documents relatifs à quelques souvenirs de Jean Tanguay et Monique Campbell. On retrouve un programme des Variétés canadiennes de 1949 [?], dont Monique Campbell et d’autres membres de sa famille participent, et un programme-souvenir de l’Association des numismates de Saint-Hyacinthe de 1966, dont Jean Tanguay était membre. On retrouve également une carte postale du club de baseball de Saint-Hyacinthe en 1939; de la Villa Saint-Hyacinthe à Contrecoeur, avec un mot de Monique Campbell à son ami Jean Tanguay au verso; un portrait d’un groupe d’hommes ayant participé à un cours d’anglais en 1942-1943, où on reconnaît Jean Tanguay mais aussi Télesphore-Damien Bouchard; et un portrait de groupe des Variétés canadiennes vers 1950 [?], où on retrouve les membres de la famille Campbell. Finalement, un dossier contient une coupure de presse de la Voix de l’Est du 13 septembre 1966, ainsi que des photographies témoignant de l’incendie sur la rue Cascade à Saint-Hyacinthe, qui détruisit complètement l’édifice abritant la Société philharmonique de Saint-Hyacinthe. L’objet est un petit buste en plâtre de Claver Casavant, réalisé à partir d’une sculpture en bois d’Arthur Bélanger [?], employé de Casavant Frères.

Ce fonds témoigne de la création, l’organisation et la gestion d’une coopérative d’habitation, qui contribua au développement de la paroisse Assomption – Notre-Dame de Saint-Hyacinthe. Les documents comprennent les procès-verbaux des assemblées générales annuelles et des réunions du conseil d’administration, la constitution de la coopérative et quelques documents administratifs. Un dossier traite des relations avec les membres, comprenant de la correspondance, des conventions et des listes de coopérants, ainsi qu’une copie des règlements municipaux relatifs à la construction résidentielle. Deux dossiers présentent aussi des activités commémoratives, soit des photographies de décorations d’une salle en vue d’une fête familiale en 1988, et des reproductions de documents et de photographies ayant été présentées lors d’une exposition soulignant le 50e anniversaire de fondation de la paroisse Assomption – Notre-Dame en 2002, incluant quelques clichés originaux collés sur des cartons.

Ce fonds témoigne du travail de recherche de Gisèle Faubert, au sujet du photographe Samuel Bourassa. Le fonds comprend la documentation, les reproductions des photographies sélectionnées pour le projet (en format diapositives et photocopies), quelques photographies originales de d’autres photographes maskoutains, ainsi qu’un exemplaire du mémoire de maîtrise de Madame Faubert, présenté à l’Université du Québec à Montréal en décembre 1990. Parmi la documentation, on note la présence d’un arbre généalogique détaillé de la famille Bourassa, une liste des photographes maskoutains de la fin du XIXe siècle et du début du XXe siècle, ainsi que des reproductions en diapositives de plusieurs portraits anciens provenant du fonds du Séminaire de Saint-Hyacinthe. Parmi les portraits, on reconnaît Maurice Frey, Étienne Ledoux, Zotique Marchessault et André Vandandaigue, ainsi que les abbés Gaspard Dauth, Fabien-Zoël Decelles, André Dubreuil, Amédée Dumesnil, John Hackett, Léon Pratte et Arthur Vézina. On trouve aussi une reproduction d’un portrait de Samuel Bourassa, avec son épouse Odinasse Riendeau et leurs cinq enfants, conservée aux archives de l’Université du Québec à Montréal.

Ce fonds témoigne de la vie familiale et du quotidien de la famille de Napoléon Gauthier à Saint-Damase, ainsi que celle de son plus jeune fils Gaston. Le fonds comprend quelques documents textuels, composés de documents officiels tels extrait de baptême, formulaire d’enrôlement militaire, faire-part de mariage et cartes nécrologiques. On retrouve surtout des photographies témoignant des différents membres des familles Gauthier, Lecours, Desmarais, Dufresne, Martel et le notaire Zoé Marchessault, ami de la famille, ainsi que les familles David, Rocheleau, Breton et Dax. De beaux clichés nous montrent des scènes de la vie quotidienne à Saint-Damase, dont le curé Norbert Gauthier, ainsi que la vie quotidienne à Montréal de Gaston Gauthier et Cécile Rocheleau. On trouve également plusieurs clichés de la résidence secondaire du couple Antonio Breton et Isola Rocheleau à Sorel. Finalement, une trentaine de photographies du quotidien des élèves du Collège Sacré-Cœur de Saint-Hyacinthe constituent un témoignage fort intéressant puisque l’édifice brûla complètement en 1938.

Ce fonds témoigne de la multitude de responsabilités et de dossiers qui intéressent Émile Chartier à tout ce qui touche la littérature, la religion, les langues et surtout la jeunesse qui a besoin d’être éduquée pour former une société forte et instruite. Émile Chartier établit des contacts partout où il passe et communique avec plusieurs personnalités importantes de la société canadienne. D’ailleurs, la volumineuse correspondance que contient ce fonds d’archives témoigne de la vitalité de ses relations, mais également de son intérêt pour garder les traces tangibles des conversations puisqu’il demande à ses destinataires de conserver leur correspondance, ce qui aura comme résultante que dans certains cas, le fonds contient autant la correspondance reçue que celle qu’il avait envoyée à ses interlocuteurs. On retrouve des échanges avec plusieurs membres de sa famille dont son père Étienne Chartier, son oncle l’abbé Victor Chartier; des amis et collègues de classe; de nombreux échanges de correspondance durant son séjour d’études de quatre ans en Europe; ses confrères de travail et ses anciens élèves au Séminaire de Saint-Hyacinthe; ses confrères de travail, ses anciens élèves et ses nombreux contacts durant sa longue carrière à l’Université Laval puis à l’Université de Montréal dont Mgr Paul Bruchési; et des personnages-clés de son implication sociale et littéraire, tels l’abbé Lionel Groulx, Olivar Asselin et Jules-Paul Tardivel. On trouve aussi des dossiers de recherches personnelles, dont un dossier sur l’abbé Étienne Chartier; des sermons; des dossiers sur ses implications sociales, telles l’Association catholique pour la jeunesse canadienne-française et la Société royale du Canada, ainsi que de nombreux autres organismes à caractère social et éducationnel; les textes des nombreuses conférences données par Émile Chartier durant sa carrière à l’Université de Montréal, touchant surtout des sujets à caractère social, tels la religion, l’éducation, les relations de travail et particulièrement sur les relations entre francophones et anglophones du Québec et de l’Ontario et sur les méthodes d’enseignement. Finalement, on retrouve des dossiers relatifs à sa production littéraire, soit une dizaine de monographies; également comme directeur de revue, collaborateur journalistique; compositeur (chansons et poésies); et des collaborations à des encyclopédies et à titre de réviseur. Les photographies nous montrent Émile Chartier dans différentes circonstances, lors de ses voyages en Europe, en compagnie de collègues dont Mgr Paul Bruchési à LaFlèche et le Père Jérôme en Angleterre, ainsi que des membres de la famille Chartier, dont les frères Jean-Baptiste, Victor et Ferrier. Les documents iconographiques sont composés de cartes postales envoyées et reçues par Émile Chartier, dont plusieurs d’Europe, mais également une collection d’images de la Première Guerre mondiale.

Le fonds témoigne d’un voyage probablement mémorable pour l’abbé Paul-André Bernier, dont il a conservé précieusement les images jusqu’à son décès. Le fonds comprend des diapositives couleur, prises lors d’un voyage à Rivière-du-Loup et dans le Bas Saint-Laurent en 1956, où l’abbé Bernier a photographié de magnifiques paysages et les gens qu’il a cotoyés. Le dossier contient également un portrait de finissant, un portrait souvenir de son ordination sacerdotale et un signet nécrologique de l’abbé Paul-André Bernier.

Le fonds témoigne modestement de la vie de Floris Tremblay, et plus particulièrement de son talent artistique de compositeur, en parallèle de sa vie professionnelle. Le fonds comprend des reproductions de documents officiels relatifs au baptême et mariage de Floris Tremblay et Lucinda Pelletier, une courte biographie manuscrite, écrite par leur fille Gisèle Laberge, et une coupure de presse du journal La Patrie du 15 décembre 1956, décrivant le tragique accident. On trouve aussi les quelques compositions de Floris Tremblay, sous forme de paroles de chansons, dont «L’Hécatombe du Collège Sacré-Cœur». Un original comporte son nom et son adresse sur la rue St-Louis, tandis qu’une autre version ne comporte que la mention «St-Hyacinthe, Qué.». On mentionne le texte, sous le titre «La Complainte du Collège Sacré-Cœur» dans «Le Catalogue de

Le fonds témoigne sommairement des activités sociales de l’abbé Roland Pelletier et de son intérêt pour en conserver des souvenirs de qualité. Le fonds comprend des diapositives représentant différentes activités de l’abbé Roland Pelletier, dont une sortie de ski aux États-Unis, une journée à la cabane à sucre, deux hommes coupant des arbres en forêt et une excursion de pêche sur la glace. On trouve aussi des images prises à l’extérieur du Séminaire, où on aperçoit l’abbé Pelletier dans sa Volkswagen ainsi qu’une petite famille qui joue dans la neige sur le bord de la rivière Yamaska. Finalement, quelques clichés nous présentent l’extérieur du monastère des Pères Trinitaires et de l’église Saint-Benoît à Granby.

Le fonds témoigne de l’engouement pour le théâtre qu’a expérimenté le jeune Roméo Robert, durant ses années d’études au Séminaire de Saint-Hyacinthe. Le fonds comprend quelques portraits de Roméo Robert à différents moments de sa vie personnelle et religieuse, ainsi qu’une belle collection de coupures de presse et de photographies des trois années (1940-1942) où Roméo Robert a joué sur les planches de la salle académique du Séminaire de Saint-Hyacinthe. On retrouve plusieurs clichés des pièces suivantes : «Les Flavius» jouée les 17 et 18 avril 1940; «On demande un sourcier» jouée les 20 et 21 novembre 1940; «Le Malade imaginaire» les 26 et 27 novembre 1941; et «L’Avare» de Molière les 26 et 27 novembre 1942, où Roméo Robert joue Harpagon. Un portrait grand format (25 x 20 cm) de ce dernier rôle, où on voit l’Avare qui demande «Quel bruit fait-on là-haut? Est-ce mon voleur qui y est?» est dédicacé par Roméo Robert.

Le fonds témoigne surtout de la vie professionnelle du notaire Joseph Morin, à titre d’échevin municipal de Saint-Hyacinthe, où il s’occupe du dossier du rachat des ponts Barsalou et Morison, de député provincial, mais surtout durant son mandat de directeur de la Banque de Saint-Hyacinthe. Ce volumineux dossier concerne l’implication de la Banque dans le dossier des compagnies de chemin de fer des Comtés-Unis, la East Richelieu Valley Railway Company et la Quebec Southern Railway Company, qui mèneront l’institution financière à la faillite. Le fonds comprend des reproductions de registres paroissiaux et de photographies de Joseph Morin, son épouse Marie-Louise Bourgoin et leurs enfants René, Gaston et Henri. On trouve aussi des documents relatifs à la vie politique municipale et provinciale de Joseph Morin, concernant la reconstruction des ponts traversant la rivière Yamaska et les nominations de shérif pour le district de Saint-Hyacinthe. Un important dossier regroupe les transactions entourant les compagnies de chemin de fer pour lesquelles la Banque de Saint-Hyacinthe et Georges-Casimir Dessaulles ont été impliqués, ainsi qu’un dossier sur la faillite de la Banque de Saint-Hyacinthe.

Ce fonds permet de reconstituer la vie économique, politique, sociale et culturelle de la région maskoutaine durant la période de 2008 à 2014, le député étant au cœur de la prise des décisions dans la plupart des dossiers et des projets qui lui sont soumis surtout au niveau de l’aide financière. Le fonds comprend 41 dossiers sur différents organismes, des documents sur les affaires locales et régionales, aide financière accordée, activités et projets spéciaux.

Le fonds témoigne de la vie personnelle de trois générations de la famille Roy, établie à Saint-Césaire puis à Saint-Paul d’Abbotsford et finalement à Saint-Pie, dont l’abbé Aimé Roy est le plus jeune membre de la troisième génération. Michel Roy (père), fils de Joseph Roy et Marie-Magdeleine Lamothe, est marié à Flavie Barré, demeurant à Saint-Césaire. Celle-ci décède en 1865 et son mari la suit en 1868, laissant Michel, le fils aîné, tuteur de ses 11 frères et sœurs. Michel Roy (fils) épouse Élisa Mailloux en 1869, qui décède en 1889, le laissant seul avec 11 enfants. Il se remarie avec Malvina Bienvenue dit Fontaine en 1891, avec qui il aura un seul enfant : Aimé. À travers les documents notariés et financiers, le fonds nous permet de comprendre les transactions immobilières relatives à la terre de Michel Roy (fils), située à Saint-Pie, qui sera léguée à ses enfants à son décès en 1916, puis revendue au benjamin : l’abbé Aimé Roy. Parmi les documents intéressants, on retrouve un inventaire après décès du couple Roy-Mailloux en 1889, ainsi que les différents actes notariés et financiers (extraits de baptême, actes de vente, reçus, contrats d’assurances et testaments), couvrant la période de 1865 à 1926. Quelques dossiers nous brossent un portrait de la situation financière et professionnelle de l’abbé Aimé Roy. Un volumineux dossier concerne les démêlés juridiques entre l’abbé Roy et son neveu Charles-Antoine Mailloux, au sujet d’une propriété située au coin des rues Saint-Joseph et Cowie à Granby, qui l’obligeront à réviser son testament. Dans sa dernière version, l’exécution testamentaire de l’abbé Aimé Roy est confiée au procureur du Séminaire de Saint-Hyacinthe. Finalement, les objets comprennent des médailles religieuses et scapulaires, dont Sainte-Thérèse de l’Enfant Jésus et Saint-Christophe.

Le fonds témoigne de l’importance de l’homme militaire que fut le docteur Albéric Morin, puisque ses funérailles, célébrées le 21 décembre 1960, ont mobilisé les troupes militaires durant toute la cérémonie, de Montréal à Saint-Pie. Le don comprend des négatifs de la journée des funérailles du docteur Marin, où on le voit dans son cercueil avec deux vigiles militaires, puis à la sortie du cercueil, enveloppé du drapeau britannique, de l’hôpital Notre-Dame, et le long du convoi jusqu’à la Basilique Notre-Dame. On voit ensuite le cortège à la sortie de la Basilique, puis arrivant à l’église de Saint-Pie. Finalement, une émouvante cérémonie militaire du «Dernier repos» se déroulera au cimetière de Saint-Pie, du tir de fusils à l’hommage musical. Toutes les images ont été prises par René Bausset.

Ce fonds est divisé en six séries qui témoignent de la vie familiale, éducative et professionnelle de la famille de Lucien Péloquin et de Rose Claire Blanchet. La première série comprend trois albums et plusieurs autres photographies de la famille Péloquin-Blanchet (grands-parents, parents, oncles, tantes, frères, sœurs, cousin/es, enfants, ami/es) lors d’événements particuliers ou lors d’activités du quotidien. Outre ces photographies, l’on retrouve des signets mortuaires et des coupures de presse de la section nécrologique. La seconde série porte sur la vie éducative de Lucien Péloquin et de d’autres membres de la famille Blanchet. Elle comprend plusieurs photographies relatives au Séminaire de Saint-Hyacinthe, ainsi que divers diplômes et certificats, dont deux remis par l’École de laiterie Provinciale de Saint-Hyacinthe à Joseph Blanchet, père de Rose Claire (1914-1915). La troisième série porte sur la vie professionnelle de Lucien Péloquin et de Jeannine Blanchet, sœur de Rose Claire. Outre des photographies montrant le personnel médical de l’Hôpital Saint-Charles dont fait partie Lucien Péloquin, cette série comprend une photographie du personnel de la Canadian Imperial Bank of Commerce (CIBC), dont fait partie Jeannine Blanchet, ainsi que divers documents relatifs à sa carrière au sein de l’institution financière. La quatrième série porte sur la maison aillant appartenue à Lucien Péloquin et étant située au 780, avenue de l’Hôtel de Ville à Saint-Hyacinthe. On y retrouve plusieurs photographies de la bâtisse, ainsi que quelques coupures de presse relatives aux locataires et propriétaires de la maison durant les années qui suivent le départ de M. Péloquin. La cinquième série porte sur les divers voyages effectués par la famille Péloquin-Blanchet. La dernière série se compose de diverses cartes postales.

Le fonds témoigne des quelques souvenirs personnels de l’abbé Jean Deslandes, surtout constitués d’albums de photographies. On retrouve des images de ses études au Séminaire de Saint-Hyacinthe, deux mosaïques encadrées du Séminaire (1948) et du Grand Séminaire de Saint-Hyacinthe (1952), quelques clichés du Congrès eucharistique de Saint-Hyacinthe en 1944, et plusieurs photographies de son séjour à Rome, dont la visite officielle au pape Pie XII, où on voit ce dernier remettre sa calotte à l’abbé Deslandes. On trouve aussi des portraits officiels pris par le Studio Lumière, un cliché de l’abbé Deslandes avec sa sœur Fernande et sa mère lors du départ en mission, et de nombreuses photographies du quotidien au Petit Séminaire Saint-Louis de Ziguinchor au Sénégal, où la communauté reçoit officiellement le pape Jean-Paul II en 1992, et où on souligne le 25e anniversaire d’arrivée de l’abbé Deslandes au Sénégal en 1995. Finalement, deux photographies nous présentent l’abbé Deslandes au Québec, à la retraite. Un dossier contient des coupures de presse du Courrier de Saint-Hyacinthe, de La Voix de l’Est, du Soleil (de Québec) et de la revue Notre-Dame, où on rencontre l’abbé Jean Deslandes dans son quotidien sénégalais en 1994-1995. Un autre dossier contient son curriculum vitae, un sermon lors des funérailles de Monique Turner et une lettre au sujet d’un employé au Sénégal. Les documents filmiques témoignent de son séjour à Rome de 1955 à 1957, où il visite aussi l’Europe, la Grèce et la Terre Sainte. L’objet est une calotte blanche ayant appartenu au pape Pie XII, remise à l’abbé Jean Deslandes lors de leur rencontre à Rome le 22 février 1956. À cet effet, une base en bois a été fabriquée pour y déposer la calotte papale.

Par le biais de photographies, ce fonds témoigne des années d’étude de Léon Racine et de la vie étudiante des élèves finissants du Séminaire de Saint-Hyacinthe entre les années 1938 et 1951. On y retrouve des photos des promotions, du choix des finissants au dévoilement annuel des vocations, des locaux du Séminaire de Saint-Hyacinthe, d’activités scolaires, religieuses, musicales, théâtrales et sportives. Le fonds contient également des photos de pique-nique, d’élèves participants à la milice au cours de la Deuxième Guerre mondiale, de plusieurs vues du Congrès Eucharistique de Saint-Hyacinthe lors de sa préparation et lors de son déroulement en 1944, et du Congrès de la Jeunesse étudiante catholique, en 1945. Le fonds contient également quelques photos de Léon Racine alors qu’il était en fonction à Saint-Dominique au cours des années 1980.

Le fonds divisé en six séries témoigne de la vie syndicale des travailleurs de l’Abattoir St-Jean. On y trouve des documents ayant trait à l’histoire du syndicat, à son organisation et à ses affiliations. Le fonds contient des ordres du jour, des procès-verbaux, des dossiers de presse et des textes à caractère stratégique concernant les conflits internes et les luttes syndicales. On retrouve également des outils de communication comme une importante collection de caricatures; le journal syndical L’Unité ouvrière; des bulletins ainsi que des communiqués de presse publiés dans le but d’informer les travailleurs et la population sur les conditions et les conflits de travail. Certains dossiers contiennent des conventions collectives de travail et des textes comparatifs faisant le point sur les conditions de travail de différents syndicats du secteur de la transformation

Le fonds témoigne, par le biais de photographies, de certains événements importants survenus à Saint-Hyacinthe entre 1944 et 1952. On y retrouve des clichés des arcs monumentaux temporaires installés dans les rues de Saint-Hyacinthe à l’occasion du Congrès Eucharistique Diocésain de Saint-Hyacinthe tenu du 21 au 25 juin 1944; d’un important feu ayant ravagé quelques pâtés de maisons sur la rue Cascade en 1944; de l’exposition d’un avion et d’armements militaires au marché centre de Saint-Hyacinthe dans le cadre des activités d’une Campagne d’Emprunt de la Victoire; d’un défilé militaire; du Théâtre Maska; d’arcs monumentaux temporaires érigés lors des célébrations du Centenaire du Diocèse de Saint-Hyacinthe, en 1952, et du 50e anniversaire de l’hôpital Saint-Charles en 1952 également.

Le fonds comprend un exemplaire de la publication « Le clan du Wingfoot » (Vol. 25, No 4, Avril 1953) un mensuel publié par la Goodyear et plusieurs photos du couple et de leur parenté ou amis à la fin des années 1920 et au début des années 1930. Le fonds contient aussi une photographie prise lors de la bénédiction des cloches de l’église Saint-Sacrement le 1e mai 1955, un cliché de groupe réalisé à l’Hôtel de Ville de Saint-Hyacinthe et un autre devant le Patronage de Saint-Hyacinthe. Le fonds comprend également deux albums de photographies illustrant la mission en Chine de sœur Albina Cordeau qui est membre de la Congrégation Notre-Dame-Auxiliaire. Ces albums comportent des photos typiques de personnages d’enfants et d’adultes chinois, ainsi que des religieuses et autres membres du clergé lors de leur séjour dans la Chine des années 1920 et 1930. Les albums proviennent de la Mme Marie-Paule Perron, sœur de la belle-mère de Liliane Millette, fille d’Ernest.

Le fonds transmis par Madame Thérèse Borduas Pepin permet d’identifier Monsieur Frédéric Jarret, un des premiers photographes maskoutains et quelques membres de sa famille. Le fonds contient deux certificats de naissance de Marie Hermine Flora Jarret, des photographies familiales et un ferrotype identifié au nom de Frédéric Jarret. Sur les photographies on aperçoit : Frédéric Jarret; sa fille Flore Jarret; Flore Jarret et Henri St-Denis qui se sont mariés le 29 mai 1912, à Saint-Hyacinthe; Marie-Claude St-Denis ainsi que des images de la pierre tombale du couple St-Denis.

Le fonds contient neuf dessins originaux réalisés, en 1906 et 1907, par Joseph Giard alors qu’il était étudiant à l’École de Saint-Hyacinthe du Conseil des arts et manufactures. On y trouve le dessin d’une armoire et des dessins techniques de portes coulissantes et de fenêtres vues sous différents angles. Le fonds comprend également des plans isométriques détaillés d’un plancher et de murs du deuxième étage d’un bâtiment ainsi que des dessins d’une porte d’entrée réalisés sous différents angles. Certains de ces dessins ont été présentés lors de l’Exposition de 1907 de l’École de Saint-Hyacinthe.

Ce fonds contient des documents relatifs à la vie militaire de Bernard Ducharme, dont 1 photographie de la « 13th company – 4. A. Veterans Guard of Canada » (janvier 1942); 2 photographies de Bernard Ducharme habillé en militaire, dont une datant de 1940; une photographie de Bernard Ducharme en habit; un copie de son dossier militaire couvrant la période de son engagement lors de la Première Guerre mondiale en mai 1918, en passant par son retrait des Forces Armées Canadiennes en 1944, allant jusqu’à son décès en août 1959.

Le fonds porte sur la généalogie de familles Girard. Il contient de la correspondance et des documents concernant la publication de l’ouvrage sur Pierre Girard et Françoise Gratiot ainsi que sur la carrière de Marc-Amable Girard, 1er Premier ministre du Manitoba et nommé au Sénat canadien en 1871. On retrouve aussi des photocopies d’actes notariés et de photos de certains membres de familles Girard. Le fonds comporte également des photos de la première église du Sanctuaire Cap-de-la-Madeleine et une photographie panoramique prise devant l’église Christ-Roi, à Saint-Hyacinthe, le 28 juin 1933, lors d’un Triple jubilé sacerdotal soulignant les 40 ans de l’abbé Alphonse Girard, les 25 ans de l’abbé Émile Girard et les 15 ans du Rév. Père Albert Girard O.M.I. On trouve aussi une photo d’Aline Girard lors de sa visite à la grotte de Nerja, en Espagne.

Ce fonds est divisé en deux séries qui témoignent de la vie personnelle de Georgette Corbeil et d’Antonacien Martel. La première série concerne des photographies des vestiges de l’église de Saint-Césaire après le feu du 28 septembre 1985. Nous y retrouvons également une entente de travail entre la Penman’s et le Syndicat national du Tricot Inc. de 1955 à 1957. La seconde série regroupe des bobines de films et des vidéocassettes de divers événements filmés par Antonacien, comme des voyages, des fêtes familiales ou encore des moments de la vie quotidienne.

Ce fonds est divisé en quatre séries qui témoignent du passage de Rodolphe Fagnan dans la Garde Paroissiale. La première série comprend des éléments reliés à la Garde Paroissiale Christ-Roi (GPCR). Elle comprend des documents liés à l’administration de la GPCR, comme les lettres patentes et les procès-verbaux des Assemblées mensuelles, et divers objets en lien avec l’uniforme et les prix reçus par M. Fagnan. La seconde série porte sur l’implication de M. Fagnan dans l’Union Régionale des Gardes Paroissiales de Saint-Hyacinthe (URGPSH). Outre les documents reliés à l’administration de l’URGPSH, la série comprend deux photographies de Gardes du Diocèse de Saint-Hyacinthe, dont celle du Christ-Roi et celle de Saint-Maxime-de-Sorel. Divers objets complètent la série, dont une pièce souvenir du Diocèse de Saint-Hyacinthe. La troisième série porte sur la Fédération des Gardes Paroissiales (FGP). On y retrouve plusieurs guides et manuels décrivant le fonctionnement de la FGP, notamment sur l’application des théories et commandements militaires. Également, la troisième série contient un recueil du Magasin de l’Ordonnance exposant les accessoires utilisés par les représentants des Gardes de la Fédération. Une photographie des délégués à la réunion de la Fédération Interdiocésaine des Gardes Paroissiales du Canada (1957) complète cette série. La dernière série contient des documents ayant appartenus à des membres de la famille à Rodolphe Fagnan, comme des annuaires de l’École Normale Saint-Joseph et un recueil de poèmes des élèves de Bois-Jolis.

Le fonds témoigne de la vie professionnelle et familiale de l’abbé Jean Corbeil. On y retrouve huit photographies du feu qui a détruit l’église de Saint-Hugues le 6 avril 1979. La foudre serait à l’origine de cet incendie. Le fonds comprend également une peinture de Jean Corbeil, réalisée par Gérard Breton en mai 2006. Le peintre lui aurait donnée en cadeau afin de souligner son 45e anniversaire de sacerdoce (CH201710-23a). Il y a aussi une crèche en plâtre ayant appartenue à Rosaline Lemonde Laliberté, née le 20 juillet 1893. Elle était la tante de Jeannette Guertin, la mère de Jean Corbeil (CH2017-10-23b). Le fonds est complété par un habit officiel des Chevaliers de Colomb (4e degré) ayant appartenu à Émile Corbeil, père de Jean. L’initiation d’Émile Corbeil aux Chevaliers eut lieu le 12 avril 1953 à l’hôtel Windsor de Montréal. L’habit comprend un chapeau haut-de-forme (qui est dans une boite de rangement), une veste, un pantalon et une cape (CH2017-10-24). Un programme de la célébration eucharistique des 50 ans de sacerdoce de Jean Coberil (29 mai 2011).

Ce fonds est divisé en deux séries qui témoignent de la vie personnelles et sacerdotale de l’abbé Denis Messier. La première série comprend des textes biographiques, des discours, de la correspondance et des photographies en lien avec les relations que Denis Messier a entretenues avec les membres de sa famille, ainsi qu’avec ses amis et confrères. Nous y retrouvons par exemple une photographie de sa mère Marie-Rose Millette datant de 1912, des documents reliés aux célébrations du 50e anniversaire de sacerdoce d’André Messier, son frère, dans lesquels il y a deux photographies montrant Grégory Charles jouer du piano. La seconde série comprend les documents reliés à la vie sacerdotale de Denis Messier. Nous retrouvons d’abord des documents en lien avec l’ordination de l’abbé Messier, dont plusieurs photographies et le texte de son allocution lors du banquet tenu au Centre Notre-Dame de St-Hyacinthe. Les autres documents de cette série sont regroupés selon les paroisses où l’abbé Messier a été en fonction. Il y a de la correspondance avec l’évêque de Saint-Hyacinthe, des photographies d’événements, des textes de sermons et d’homélies prononcés par l’abbé Messier et des hommages rendus à Denis Messier.

Le fonds est composé d’une photographie de Gilles Chartier de grand format (110 x 85 cm) prise par le photographe Gaby (Gabriel Desmarais) en avril 1960 ; une photographie du premier ministre Maurice Duplessis (5 juillet 1954), également de Gaby (24 x 19 cm) ; deux autres photographies d’un banquet où l’on aperçoit entre autres Gilles Chartier et Harry Bernard ([1960]) (19 x 24 cm).

Le fonds comprend un certificat national de compétence attestant la qualité des services rendus au public dans le domaine de l’assurance vie décerné à Léo Martel (1er juin 1946) et signé à Toronto par le directeur-gérant de la Life Insurance Agency Management Association, par le secrétaire de la Canadian Life Insurance Officers Association et par le secrétaire de la Life Underwriters Association of Canada. Le certificat est étampé également pour les années 1946-1949 (à noter que les étampes de 1946 et 1948 sont décollées et se retrouve dans une enveloppe).

Le fonds est composé de deux photographies de Serge Bousquet au sommet de la structure en acier de la Place Ville-Marie à Montréal, durant sa construction en 1961 ; deux photographies des travaux effectués sur le phare du Haut-fond Prince situé au milieu du fleuve Saint-Laurent près de Tadoussac [1964] ; trois photographies et une reproduction de photographie des travaux de construction du Pont Pierre-Laporte (fin 1960). Sur deux photographies on aperçoit Serge en habit de scaphandrier devant le vieux pont de Québec ; une photographie de Serge en habit de scaphandrier devant la rivière Yamaska (du côté de La Providence). On voit en arrière-plan l’usine de la Penman’s, ainsi que le cloché de l’église Notre-Dame-du-Rosaire [196?] ; une photographie de Serge en habit de scaphandrier en train de plonger à l’eau [196?] ; une photographie de Serge au Port de Saint Jean au Nouveau-Brunswick [196?] ; une photographie de Serge au Port Alfred avec une caméra sous-marine dans les mains. Il l’a utilisée pour effectuer une plongée de 80 pieds de profondeur [196?] ; une photographie de travaux de pose de tuyaux de béton dans le lit d’une rivière gelée [année inconnue] ; une photographie de Serge en habit de scaphandrier [vers les années 1970] ; cinq reproductions de photographies de travaux effectués sur le pont situé au haut de la chute Montmorency à Québec [vers les années 1970] ; deux reproductions de photographies du démantèlement de cinq piliers d’un pont à Ottawa ; une photographie de Serge devant une carcasse d’un animal [orignal?] qu’il a possiblement chassé à la Baie James [vers les années 1980] ; une photographie d’un camion minier ; une reproduction d’un article du Courrier de Saint-Hyacinthe portant sur Serge et son métier de plongeur (3 novembre 1982).

Ce fonds est divisé en trois séries qui témoignent des activités de production et de promotion de l’entreprise Lucien Larivée inc. La première série comprend des photographies en lien avec la production et la distribution des produits Pepsi-Cola. La seconde série contient des photographies reliées aux activités de distribution et de promotion des produits Dow et Kingsbeer. La troisième série comprend entre autres des coupures de presse et des photographies de remises de prix à différents sportifs de la région, ainsi que différentes photographies d’événements auxquels ont participés Lucien et Yvan Larivée.

Le fonds témoigne d’événements organisés par différents regroupements de raquetteurs en Amérique du Nord. Il comprend quatre films 16 mm de 18 images par seconde (17,5 cm de diamètre) exposant différents regroupements de clubs de raquetteurs. Voici un inventaire sommaire des différents films :

1. Un film de la convention de Lewiston tenue possiblement durant la seconde moitié des années 1920. On remarque notamment le club de raquetteurs Cœur Joyeux de Montréal et plusieurs autres regroupements faire leur arrivée à une gare débarquant d’un train du Canadian National. On aperçoit également Miss Lewiston, ainsi que la remise des clés de l’hôtel de ville de Lewiston. On y voit aussi des gens danser et faire la bascule. ([192?])
2. Un film des Snowshoers de Lewiston datant de 1928 sur lequel on voit une parade de raquetteurs en uniforme. (1928)
3. Un film sur le Congrès de l’Union Canadienne des raquetteurs tenus à Saint-Hyacinthe le 26 février 1928. Ce congrès avait pour objectif de souligner les 20e anniversaires de l’Union et du Club de raquetteurs l’Infatigable de Saint-Hyacinthe. On aperçoit différents clubs parader dans les rues de la ville, ce qui permet d’observer plusieurs édifices maskoutains, dont la gare, l’usine de la Penman’s, la rue des Cascades, l’Église Notre-Dame-du-Rosaire et la Porte des anciens maires vue de la rivière. On les voit également jouer au golf sur la rivière. On retrouve aussi sur le film un événement des raquetteurs tenus à Sorel le 11 mars 1928. On y aperçoit le Club Le Canadien de St-Henri, ainsi que le Club l’Infatigable de Saint-Hyacinthe. On les aperçoit à la gare et dans le port. Outre une parade, on peut observer une « auto-ski ». (1928)
4. Un film du Congrès (Convention) annuel des raquetteurs de Montréal tenue les 28 et 29 janvier 1933. On aperçoit les différents clubs débarquer à la Gare, dont l’Infatigable de Saint-Hyacinthe, un des Laurentides, les Alpins de Hull, les Voltigeurs de Lévis et un de Drummondville. (1933)

La collection témoigne principalement des activités du patronage Saint-Vincent de Paul de Saint-Hyacinthe, mais également des autres œuvres du Patro dans la province. La collection comprend une toile peinte par Joseph Richer et qui représente la bâtisse du patronage de Saint-Hyacinthe vers 1908 – un drapeau de Carillon, avec en son centre une image du Sacré-Cœur, se dresse au-dessus de la bâtisse. La collection contient également tous les exemplaires de la revue L’écho du patronage (1909-1938), ainsi que des exemplaires de la revue Patro, qui portera également les noms de Patro Jeunesse et Patro-Quinze-25. Nous possédons les exemplaires pour les années 1938 et 1939 (ceux-ci sont de grand format), de 1940 à 1947, de 1954 à 1964, certains numéros de l’année 1966 (soit les numéros 2 à 4, 6,7 et 9), le numéro 2 de 1967, ainsi que tous ceux publiés entre mars 1970 à avril 1973.

Le fonds témoigne surtout de la gestion documentaire de la succession de l’abbé Gilles Archambeault. Le fonds comprend des certificats d’assurances des membres de la famille Archambeault (1920-1973), un certificat d’actions pour la Mercedes Exploration Co. (1956), les testaments d’Yvonne Lussier et de Josaphat Archambeault (1980-1981), différents exemplaires du curriculum vitae de Gilles Archambeault (1976-1984), de la documentation associée à l’acquisition, au transport et à la possession d’une arme à feu par Gilles Archambeault (1990-2012), différentes versions du testament de Gilles Archambeault (1996-2009), de la documentation relative à la certification du décès de Gilles Archambeault (2011), de la documentation relative à la gestion immobilière – propriété de Gilles Archambeault et vente de succession (1980-2011) – et de la documentation échangée avec les différents gouvernements en ce qui a trait à la succession – impôts, demande de prestation de survivant et régime de retraite (2011-2012). De la documentation relative à la gestion de la succession par Raymond Pelletier complète le fonds (2011-2013), comme un agenda des différentes tâches qu’il a accomplies, de la correspondance avec notaire, avocats et institutions bancaires, des vérifications de codicilles olographes, des dons testamentaires, un projet d’acte de reddition de comptes, des factures d’honoraires professionnels de notaire et d’avocats, ainsi qu’un exemplaire de convention de transaction et quittance.

Ce fonds témoigne du parcours de formation suivi par Maurice Lambert et Charlotte Labossière. On y retrouve un diplôme de l’Institut d’Écriture Normale de Saint-David (1938) et un certificat d’Études primaires élémentaires de septième année de Saint-David (1939) décernés à Maurice Lambert ; un certificat de Communion solennelle de la Cathédrale de Saint-Hyacinthe (1939), un certificat et un diplôme de l’Institut d’Écriture Normale de l’Académie Notre-Dame-de-Lorette de Saint-Hyacinthe (1941-1942), un certificat d’Études primaires élémentaires septième année du Couvent Notre-Dame-de-Lorette de Saint-Hyacinthe avec mention de distinction (1942), un diplôme d’agrégation lié à l’admission dans la Congrégation des Enfants de Marie (1942), un certificat de premiers soins aux blessés de l’Association d’Ambulance Saint-Jean (1943), une attestation du cours de lettres-sciences avec mention de distinction de l’Université de Montréal (1943) et un diplôme de l’École Commerciale Lussier de Saint-Hyacinthe avec mention de distinction (1944) décernés à Charlotte Labossière.

Ce fonds témoigne d’une parcelle de la vie de Rieul-Prisque Duclos, à l’époque où il est étudiant à Genève, stagiaire à Edinburgh et pasteur en Europe et au Québec. On retrouve surtout de la correspondance qui avait été probablement conservée précieusement par Sophie Jeanrenaud, composée de lettres de Rieul Duclos à différentes époques, des membres de la famille Jeanrenaud, quelques correspondances de leurs fils Arnold et Charles, ainsi que de la correspondance entre Rieul Duclos et Philippe Wolff lors de la controverse à propos du pasteur Emmanuel Tanner, et des lettres de candidats à un poste de professeur au sein de l’école dissidente que constituait le pensionnat de jeunes filles à Saint-Hyacinthe. On retrouve également un exemplaire original en deux volumes de L’Histoire du protestantisme français au Canada et aux États-Unis par Rieul-Prisque Duclos, paru en 1913, peu de temps après son décès. Finalement, le fonds contient la documentation relative à la découverte de ces précieux documents par Me Guy Morin dans la maison ancestrale des Duclos à Saint-Pie en 1948.

Ce fonds est divisé en trois séries qui témoignent des activités administratives de la Fédération 09 – Montérégie des Cercles de fermières du Québec. La première série comprend des éléments relatifs à la gestion administrative de la Fédération, comme des procès-verbaux de réunions du conseil d’administration régional et des assemblées générales annuelles, des rapports annuels, des listes et bottins des membres, de la documentation liée à l’adhésion et à la dissolution de cercles locaux et des documents en lien avec les célébrations des 50e et 75e anniversaires de la Fédération. La seconde série concerne la Corporation provinciale des Cercles de fermières du Québec. On y retrouve de la documentation relative à l’historique de la corporation, des recueils de résolutions, des mémoires et des avis. La troisième et dernière série porte sur l’administration de cercles locaux qui ont fermés, comme ceux de Saint-Maxime, Chambly, McMasterville et Saint-Charles. On y retrouve notamment des procès-verbaux de réunions de conseils d’administration locaux et d’assemblées générales annuelles.

Le fonds comprend deux actes notariés. Le premier est au nom de Jean-Baptiste Bachand, date du 3 février 1800 et concerne l’entente de ce dernier avec le seigneur Hyacinthe-Marie Delorme. Il s’agit du lot 659 de la Seigneurie de Saint-Hyacinthe. Cette terre fait trois arpents de front et trente de profondeur. Elle est située sur le chemin Saint-Simon. Le second acte notarié est au nom d’Alexis Bachand, date du 3 novembre 1848 et concerne l’entente de ce dernier avec Samuel Cornwallis Monk et Rosalie-Caroline Debartzch. Il s’agit des lots 197, 240 et 241 de la Seigneurie Debartzch – respectivement sous les numéros 16, 13 et 14 de la concession Nord-Est (16) et SudOuest (13-14) du rang Saint-Simon ou des Soixante, dans la paroisse de Saint-Hyacinthe. Le fonds comprend également un album de 97 photographies ayant appartenu à Elzéar Bachand et Sylvia Mercier. Il s’agit essentiellement de photos de famille, dont quelques-unes d’Elzéar, Sylvia et Irène, une d’un moteur électrique d’une industrie datant de 1919 et quelques-autres possiblement prisent aux États-Unis.

Le fonds comprend une photographie d’hommes d’affaires de Saint-Hyacinthe datant possiblement de 1919, sur laquelle on aperçoit notamment Azarie Lassonde – l’oncle de Raoul – ainsi que MM. Cordeau, Brousseau, Beauregard, Desautels, Boivin, Proulx, Brodeur, Dupont, Laframboise, Laplante, Girouard, Champagne, Charron et Chagnon ; un journal de caisse de l’École commerciale pratique Lalime Ltée. de Saint-Hyacinthe (1917-1918).

Ce fonds témoigne essentiellement du parcours académique de l’abbé Hubert Jacques. Il comprend des diplômes universitaires, dont une licence en pédagogie à l’École normale secondaire rattachée à l’Université de Montréal (1er avril 1965), un baccalauréat en théologie à l’Université de Sherbrooke (3 juin 1977), une maîtrise des arts à l’Université McGill (8 novembre 1978) et une licence en théologie à l’Université de Montréal (22 janvier 1985).

Ce fonds témoigne des années que Clément Rhéaume a passées à la mairie de Saint-Hyacinthe. Le fonds comprend trois albums de style « Scrapbook » où sont collés de façon chronologique des coupures de presse, 214 photographies, des documents et 3 objets divers liés à son implication au sein de la communauté, notamment en tant que maire de Saint-Hyacinthe. On retrouve par exemple, des cartons d’invitation et des menues liés à des soirées bénéfices, des dépliants promotionnels liés aux campagnes électorales auxquelles M. Rhéaume s’est présentées, des lettres de remerciements, deux épinglettes, deux rubans, des cahiers spéciaux, des cartes de membres d’organismes, des certificats reçus, des cérémonials et une multitude d’autres documents.

Ce fonds est divisé en deux séries qui témoignent de la vie artistique et personnelle d’Annie Joan Gagnon. La première série comprend des documents liés à ses œuvres littéraires, comme différentes versions de ces ouvrages publiés, et des documents liés à ses œuvres picturales et graphiques, comme des documents promotionnels d’un vernissage et un portefolio de croquis et dessins divers. La seconde série contient des journaux intimes, de la correspondance et divers documents ayant appartenus à Annie Joan Gagnon, dont quelques photographies.

Ce fonds est divisé en cinq séries qui témoignent de l’administration et des activités de l’Afeas La Providence. La première série comprend des documents historiques et constitutifs, des rapports d’activités, ainsi que des procès-verbaux d’assemblées mensuelles et de réunions du conseil d’administration. La seconde série contient des documents liés à la gestion financière de l’organisme, comme des rapports financiers, des documents liés au financement, aux budgets et à la comptabilité, ainsi que des documents en lien avec des opérations bancaires et à la gestion des ressources mobilières et immobilières. La troisième série est liée à la gestion des membres de l’Afeas La Providence, comme des certificats, des cartes et des listes de membres. La quatrième série porte sur les activités de l’organisme, comme la défense de différents dossiers, les formations et conférences organisées par et pour les membres de l’Afeas La Providence, ainsi que l’organisation d’expositions artisanales, d’hommages et d’anniversaires. La dernière série porte sur les communications de l’Afeas La Providence, notamment avec les Afeas provinciale et régionale Richelieu-Yamaska, avec d’autres Afeas locales, avec les gouvernements provincial et municipal et avec différents organismes et individus de la grande région de Saint-Hyacinthe.

Ce fonds est divisé en deux séries qui témoignent de la vie personnelle et professionnelle d’Alice Roy. La première série comprend des documents liés à la vie personnelle d’Alice, comme des photographies de membres de sa famille. On y retrouve aussi des documents liés à l’intérêt d’Alice pour la musique et le chant, comme des programmes de soirées organisées par les Variétés Canadiennes, ainsi que des partitions et des carnets de chansons rédigées par Alice Roy. La seconde série porte sur l’implication d’Alice Roy et de Bernard Larose dans le domaine du textile, comme des photographies et des revues de patrons pour la couture.

Ce fonds est divisé en trois séries qui témoignent de la vie politique et personnelle d’Huguette Corbeil. La première série comprend des documents liés à son implication dans le monde politique municipal et fédéral, comme des coupures de presse, des dépliants de candidats, des rapports de dépenses électorales, des déclarations de candidature, des listes électorales, de la correspondance, des programmes électoraux, un plan marketing et des dossiers de recherches. La seconde série contient des documents liés aux implications sociales d’Huguette Corbeil dans différentes organisations de la région, dont la Fêtes du 50e de la paroisse du Sacré-Cœur-de-Jésus, les Jeux du Québec tenus à Saint-Hyacinthe et Secondaire en spectacle – Rendez-vous panquébécois Montérégie. La série comprend des communiqués et des coupures de presse, des dépliants promotionnels, des photographies, des discours, de la correspondance, des programmes, des bulletins d’information et des rapports financiers. La troisième série porte sur la vie personnelle d’Huguette Corbeil et concerne sa famille, notamment un dossier sur ses parents Émile Corbeil et Jeannette Guertin et un autre sur l’organisation entourant les célébrations des 45e et 50e anniversaires sacerdotaux de son frère Jean Corbeil, et ses voyages effectués avec son conjoint Pierre Solis. Cette série contient un album souvenir, des faire-part, des lettres de félicitations, des signets mortuaires, des discours, des comptes rendus, des procès-verbaux et des ordres du jour de réunions, des listes d’invités, des photographies, des rapports financiers, des formulaires d’inscription, de la correspondance, des programmes d’activités, un journal de voyage, des cartes postales, des billets et des factures.

Ce fonds est divisé en quatre séries qui témoignent de la vie politique, professionnelle et personnelle de Pierre Solis. La première série comprend des documents liés à l’implication politique, au niveau municipal et provincial, de Pierre Solis. Elle se compose de coupures de presse, des dépliants promotionnels, des listes de donateurs et collaborateurs, des horaires de campagnes, des documents financiers, de la correspondance, des discours, des documents promotionnels, des dossiers de recherche et des photographies. La seconde série comprend des documents liés aux implications sociales de Pierre Solis, notamment pour le développement et la revitalisation du centre-ville de Saint-Hyacinthe, mais aussi au sein d’une multitude d’organismes et de fondations de la région, en plus de s’impliquer comme lieutenant-colonel honoraire pour le 6e Bataillon Royal 22e Régiment. Cette série se compose de coupures de presse, d’un dépliant, de rapports, d’études, de photographies et d’un carton d’invitation. La troisième série porte sur la vie professionnelle de Pierre Solis, notamment comme libraire et promoteur immobilier. Cette série se compose surtout de coupures de presse, de cahiers spéciaux, d’une photographie et de documents publicitaires. La quatrième et dernière série porte sur la vie personnelle de Pierre Solis et se compose de photographies de membres de la famille et d’amis.

Ce fonds est divisé en trois séries qui témoignent de l’évolution du projet de Centre des arts Juliette-Lassonde. La première série comprend des documents liés à la campagne de financement mise en place pour la construction du centre, comme des rapports et des études, des dépliants promotionnels, des discours, des listes de donateurs, des documents liés à l’organisation de rencontre de sollicitation et des formulaires de protocole d’entente. La seconde série contient des documents liés à la gestion immobilière, comme des propositions de projet de firmes d’architectes et de designers, des rapports, des dessins d’architecture, des communiqués et des coupures de presse. La troisième série porte sur les communications et contient des documents liés aux relations internes et externes, notamment avec la Ville de Saint-Hyacinthe, et des coupures de presse.

Ce fonds contient un registre des procès-verbaux de l’Association libérale provinciale de Saint-Hyacinthe (1973-1987) ; trois procès-verbaux de l’Association (1998-1999) ; un carton d’invitation à un souper bénéfice de l’Association tenu au restaurant Le Parvis où sont invités Jean Charest, chef du Parti libéral du Québec, ainsi qu’André Tranchemontagne, député de Mont-Royal (2 octobre 2000).

Ce fonds contient un montage d’album-souvenir du Dr Hervé Gagnon dans lequel on retrouve des coupures de presse et de revues diverses liées au Dr Gagnon ; différentes versions de curriculum vitae et de notices biographiques ; une photographie du Dr Gagnon devant une banderole sur laquelle il est indiqué « 1950 Slusser Safety Award Inter-Cotton Mill Safety Champions » ; un procès-verbal du Comité de la Ligue Antituberculeuse de Saint-Hyacinthe (21 juillet 1944) ; trois photographies du camp de santé à Contre-Cœur ([194?]) ; une photographie de la collecte de sang au manège militaire où l’on aperçoit entre autres le maire de Saint-Hyacinthe Ernest O. Picard, le député Ernest-J. Chartier et le Dr Hervé Gagnon (avant 1955) ; une photographie de la campagne de collecte de sang de l’hôpital Saint-Charles où l’on aperçoit une pancarte en forme de bouteille de sang sur laquelle on peut lire « Notre hôpital a besoin de 800 bouteille de sang pour remettre gratuitement à nos malades » ([195?]) ; une photographie des cérémonies durant laquelle le Dr Gagnon devient membre émérite de l’Association médicale du Canada ([196?]) ; un exemplaire des formulaires d’ordonnances du bureau du Dr Hervé Gagnon ; une lettre du docteur adressé à ses confrères pour la nouvelle année alors qu’il est gouverneur du collège des Médecins et chirurgiens du district de Saint-Hyacinthe (1955) ; un photographie du Dr Gagnon nouvellement élu président de l’Association de médecine industrielle ([1957]) ; une photographie du Collège des médecins pour lequel le Dr Gagnon a notamment été gouverneur et président (entre 1954 et 1962) ; une photographie de la remise de la décoration de l’Ordre des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem au Dr Gagnon par le gouverneur général Georges Vanier (janvier 1967) ; de la correspondance et un communiqué de presse du Réseau Santé Richelieu-Yamaska concernant l’appellation du nouveau pavillon à l’hôpital Honoré-Mercier en l’honneur du Dr Gagnon (2004) ; des reproductions de photographies des travaux de construction du pavillon ([200?]) ; une lettre signée par Mariette Arteau et Grégoire Girard proposant le nom du Dr Hervé Gagnon pour le nouveau pavillon (2004) ; trois reproductions de photographies du dévoilement des plaques commémoratives à l’effigie du Dr Gagnon et de l’Honorable Honoré Mercier sur lesquelles on aperçoit notamment Christian et Michel Rioux, Caroline et Virginie Jamet, Marc Gagnon, Micheline Jamet, le ministre de la Santé le Dr Yves Bolduc et le député de Saint-Hyacinthe Émilien Pelletier (2012) ; une lettre de la Corporation professionnelle des médecins du Québec, signé par le président Auguste Roy, présentant ses condoléances à Camille Séguin, la femme du Dr Gagnon (1985) ; une lettre de démission du Dr Gagnon annonçant son retrait comme officier médical de la Goodyear Canada Inc de Saint-Hyacinthe (1983) ; un portrait du Dr Gagnon ([196?]).

Ce fonds est divisé en deux séries qui témoignent des activités de l’Afeas La Présentation. La première série porte sur la gestion administrative de l’organisation. Elle comprend des registres de procès-verbaux d’assemblées statutaires de l’Afeas La Présentation. La seconde série porte sur la gestion financière de l’organisation. Elle contient un registre de cotisation, des recettes et déboursés et des documents liés aux opérations bancaires.

Ce fonds est divisé en trois séries qui témoignent des différentes activités associées à l’élaboration d’un rapport pour le projet d’un musée régional maskoutain, de 2013 à 2014. La première série comprend les documents relatifs aux ententes avec la Ville de Saint-Hyacinthe, ainsi que les documents de comptabilité échangés avec l’Université Laval. La seconde série contient divers types de documents produits, accumulés et transmis par le professeur Philippe Dubé et son équipe d’étudiants inscrits au Diplôme d’enseignement supérieur spécialisé (DÉSS) en muséologie, pour l’élaboration du rapport et du projet filmique qui lui est consacré, soit les éléments de recherche consultés, les étapes de rédaction et les nombreuses versions de textes, ainsi que les documents finaux présentés. La troisième série porte sur les relations internes et externes à l’origine du projet de musée régional, dont les documents témoignant de projets similaires, les coordonnées de personnes ressources, les rapports et les comptes rendus du Comité responsable du projet. Cette dernière série contient également les documents témoignant de l’implication des étudiants au projet, quant aux aspects légaux, ainsi qu’aux contextes d’apprentissage et d’évaluation de leur participation.

Ce fonds est divisé en trois séries qui témoignent de la vie personnelle et professionnelle de Lucien Bibeau. La première série comprend des photographies de Lucien Bibeau en tant que joueur et instructeur de hockey. La seconde série contient des photographies du commerce de Lucien Bibeau, Le Centre de la couleur, à Saint-Hyacinthe. La troisième série est constituée de deux photographies.

Ce fonds est divisé en quatre séries qui témoignent du processus de préparation menant à la restauration de l’orgue Opus 9 de Casavant Frères et son installation au Monastère du Précieux-Sang. La première série comprend des documents relatifs à l’aide financières demandée pour la réalisation du projet. La deuxième série contient des documents à propos du lieu d’installation de l’orgue. La troisième série contient des documents en lien avec l’appel d’offres. La quatrième série est composée de documents à propos de la restauration de l’orgue.

Ce fonds est divisé en cinq séries qui témoignent de l’intérêt des créateurs du fonds pour le patrimoine religieux et les ponts couverts à travers le Québec. La première série comprend des documents de travail voués à l’organisation de leurs périples et permettant de créer les index des photos que le fonds comprend. La seconde série contient des photographies des églises desservant les paroisses des 19 diocèses que comprend le Québec ; 1 dessin technique ; les index se rattachant aux photos. La troisième série comprend des photos d’églises et autres bâtiments ou lieux non classés par diocèse ; les index s’y rattachant. La quatrième série comprend des index d’églises protestantes et la cinquième série comprend des photos de ponts couverts ; un index ; de la documentation sur le sujet.

Ce fonds est divisé en deux séries qui témoignent de la vie personnelle et de la vie religieuse de l’abbé Gilles Dumoulin. La première série comprend des documents personnels concernant Gilles Dumoulin avant qu’il soit ordonné tels que son certificat de naissance et de baptême ainsi que des notes de cours. La deuxième série est composée de documents relatifs à la vie sacerdotale de l’abbé Gilles Dumoulin alors qu’il était curé de différentes paroisses, aumônier des Sœurs de Saint-Joseph et animateur pastoral. Elle comprend des homélies et autres allocutions, de la correspondance, des photographies, des images, de la documentation sur différents sujets et des coupures de presse.

Le fonds, divisé en trois séries, témoigne de la vie familiale de Claude-Réal Girard ainsi que de ses études et de ses activités professionnelles en tant que notaire. La première série comprend des documents offrant des informations généalogiques sur sa famille, sur la paroisse Notre-Dame-du-Rosaire de Saint-Hyacinthe, d’où provient la famille Girard, et différents aspects de la vie à l’époque où il est jeune. La deuxième série est composée de documents relatifs aux études classiques et universitaires de Claude-Réal Girard : des notes manuscrites ; un programme-souvenir du 150e anniversaire du Séminaire de Saint-Hyacinthe ; des cartons mentionnant Philosophie II et le nom de Claude-Réal Girard ; l’album des finissant 1961-1962 de l’Université de Montréal ; une photographie représentant la mosaïque des finissants de l’année 1958-1959 du Séminaire de Saint-Hyacinthe sur laquelle Claude-Réal Girard apparaît ; une mosaïque des finissants de la faculté de droit de l’Université de Montréal ; une photographie des participants de l’émission Avis de recherche consacrée à Guy Boucher et diffusée sur les ondes de Radio-Canada durant l’année télévisuelle 1985-1986 ; des diplômes de l’Université de Montréal ; une médaille du lieutenant-gouverneur de 1961 ; une certificat de la Chambre des Notaires de la Province de Québec attestant que Claude-Réal Girard a le droit d’exercer la profession de notaire ; une mosaïque des hommes et femmes d’affaires et professionnels du grand Saint-Hyacinthe ; un livre de la loi du notariat annotée ; deux rapports du ministère de la voirie ; des cartes et plans de Saint-Hyacinthe et de la région.

Ce fonds comprend une série qui témoignent de la famille de Fleurette Dupré. Elle contient des photographies de différentes époques, au Québec et aux États-Unis.

Ce fonds comprend des photographies du couple Laurent Laliberté et Louise Bernier et de sa famille. On y retrouve une photographie du couple vers 1895 ; une photo de la famille Quintal aux noces d’Agathe Quintal et Azorias Berthiaume possiblement en 1902 ; une photo de la famille de Laurent Laliberté et Arzélie Lajoie dans les années 1920 ; deux photos prisent lors des noces d’or d’Arzélie Lajoie et Laurent Laliberté et des noces d’argent de Marie Quintal et de François Laliberté en 1930 célébrées à Saint-Joseph ; une photo-montage représentant la grande famille de Laurent Laliberté et de Louise Bernier.

Ce fonds témoigne de la vie personnelle et sacerdotale de l’abbé Georges Gadbois. Il comprend cinq signets souvenirs de son ordination sacerdotale et sa première messe ; un certificat de bénédiction apostolique au nom de Georges Gadbois du Très Saint-Père ; des affiches hommage à l’abbé Georges Gadbois à l’occasion de son jubilé d’argent sacerdotal ; une coupure de presse concernant le décès de Georges Alfred Gadbois, père de l’abbé Georges Gadbois ; deux cartes de condoléances adressée à l’abbé Georges Gadbois à l’occasion du décès de son père ; un communiqué publié à l’occasion du décès de l’abbé Georges Gadbois ; six cartes de condoléances pour le décès de l’abbé Georges Gadbois ; une lettre circulaire de Mgr Albert Sanschagrin envoyée à l’occasion du décès de l’abbé Georges Gadbois ; un coupe-papier.

N’hésitant pas à prendre ses photographies sous des angles inusités, notamment du sommet des toits, il capte sur pellicule, entre autres, l’Hôtel Ottawa ; le Marché ; la démolition des édifices derrière l’hôtel Ottawa et l’aménagement du terrain en stationnement ; le secteur de la pharmacie Jean Coutu ; des arrière-cours ; les berges de la rivière Yamaska ; le rues des Cascades. Son exploration des lieux l’amène à découvrir parmi les décombres de la Place Frontenac des ornements architecturaux de cet édifice ainsi que quelques photographies. Ce fonds est divisé en deux séries qui témoignent de l’intérêt du créateur du fonds pour cette partie de la ville de Saint-Hyacinthe qui est chère à son cœur, de l’aménagement urbain du centre-ville et des caractéristiques architecturales de ses édifices. La première série comprend des photographies. La seconde série contient des ornements architecturaux de la Place Frontenac.

Ce fonds est divisé en deux séries qui témoignent de l’histoire administrative de l’UPA de Saint-Hyacinthe. La première comprend des éléments relatifs à l’administration de l’Union, comme des documents sur son histoire, sur son organisation administrative, sur les assemblées annuelles de ses syndicats et sur des congrès qu’elle a organisés. On y trouve également différents rapports administratifs, ainsi que des listes de membres des syndicats composant l’UPA de Saint-Hyacinthe. La seconde série porte sur les communications de l’UPA de Saint-Hyacinthe, comme des plans conjoints, des bulletins d’information, des documents exposants des données statistiques sur les producteurs de la région de Saint-Hyacinthe et divers documents relatifs aux relations internes et externe de l’Union. Des coupures de presses et des photographies relatives aux productions agricoles de la région de l’UPA de Saint-Hyacinthe complètent la seconde série.

Ce fonds est divisé en 15 séries qui témoignent de la mission de l’organisme, de son fonctionnement, ainsi que de ses activités d’acquisition, de traitement, de conservation et de diffusion de ses archives relatives à l’histoire de Saint-Hyacinthe et de sa région. Le fonds témoigne également de sa fonction de gestion du musée du Séminaire de Saint-Hyacinthe. La première série comprend des documents relatifs à la gestion administrative de l’organisme tels que des documents constitutifs, des procès-verbaux et des rapports annuels. La seconde série contient des documents liés aux ressources humaines tels que des offres d’emploi, des contrats et des listes de tâches. La troisième série porte sur les ressources financières et est composée de documents de comptabilisation, de relevés bancaires, d’états financiers et de formulaires de déclaration de revenus. La quatrième série comprend des documents relatifs aux ressources mobilières et immobilières tels que des appels d’offre, des soumissions et des dessins d’architecture. La cinquième série porte sur les ressources informationnelles et est composée de modèles de formulaires, de photographies et de dépliants. La sixième série contient des documents relatifs aux communications. Elle est composée de documents publicitaires, de photographies, de coupures de presse, de dossier de presse et de la correspondance. La septième série contient des documents relatifs au membership tels que des formulaires d’adhésion ou de renouvellement, ainsi que des listes et fiches de membres. La huitième série comprend des documents relatifs au développement de l’organisme, tels que des plans de développement, des politiques et des procédures. La neuvième série est composée de documents en lien avec les acquisitions et les dépôts de fonds d’archives et d’objets. Elle comprend des politiques, des conventions de donation, des listes de dons, des conventions de prêts et de la correspondance. La dixième série porte sur le traitement d’archives et comprend des outils de recherche, des listes de fonds d’archives et des plans de classification. La onzième série porte sur la conservation des archives et est composée d’une politique, ainsi que de la correspondance. La douzième série comprend des documents sur la diffusion des archives et des objets. Elle est composée de correspondance, d’entente de prêt et de documents publicitaires. La treizième série porte sur le service de généalogie du centre d’archives. Elle est composée de rapports annuels, de correspondance et de listes de microfilms de registres paroissiaux. La quatorzième série comprend des documents relatifs au Musée du Séminaire de Saint-Hyacinthe dont la gestion est assurée par le centre d’archives, tels qu’une étude de planification, des politiques, des inventaires et des conventions de prêt. La quinzième et dernière série porte sur le service de microfilmage offert par le centre d’archives. On y retrouve une offre de service, un mode d’emploi et une procédure.

Ce fonds comprend l’original de la thèse de doctorat de Jean-Marc Paradis, traitant de la vie du politicien Augustin-Norbert Morin, la publication de l’Association des Morin d’Amérique sur la conférence donnée par M. Paradis au Séminaire de Saint-Hyacinthe le 2 octobre 2003. On trouve aussi un dossier sur la transaction entre Louisette Gélinas et l’Association des Morin d’Amérique au sujet de la cession des droits d’auteur sur la thèse de son époux, comprenant également deux photographies de Louisette Gélinas et Jean-Louis Morin lors de la parution du livre, ainsi qu’un exemplaire de ce dernier.

Les documents textuels comprennent des notes et travaux scolaires, plusieurs factures de grands classiques littéraires, des sermons, des notes et correspondances au sujet du nationalisme et des certificats de reconnaissance des Chevaliers de Colomb. Les photographies sont regroupées par dossier correspondant à la vie étudiante, religieuse, professionnelle et familiale de l’abbé Claude Léveillé. On retrouve deux dossiers sur ses études à Sainte-Thérèse et à Saint-Hyacinthe, comprenant trois mosaïques des finissants du Séminaire de Sainte-Thérèse (1947) et du Grand Séminaire de Saint-Hyacinthe (1952) et trois portraits de classes au Séminaire de Saint-Hyacinthe de 1959 à 1961, tous de grand format; un dossier sur sa vie religieuse dont la première pelletée de terre et une ordination sacerdotale au Grand Séminaire de Saint-Hyacinthe; un dossier sur sa vie professionnelle à titre de professeur-auxiliaire au Séminaire de Saint-Hyacinthe, où on le voit parmi les photographies officielles de classes et lors de spectacles de la Saint-Yves; et un dossier comprenant plusieurs cartes mortuaires de membres des familles Léveillé et Pépin. Il est à noter que les photographies de classes comportent pour la plupart l’identification des élèves au verso. Les documents iconographiques comprennent une intéressante collection de 39 cartes postales de Montréal, par les compagnies Metropolitan du Massachussetts et Photogelatine Engraving d’Ottawa, contenant de la correspondance avec sa marraine Lucille, de 1939 à 1945, qui demeure à Montréal et lui donne des nouvelles de la famille élargie. On trouve aussi deux cartes postales d’Elphège Rose Jolicoeur et Yves Léveillé, frère de Claude. On retrouve également une carte mortuaire de J.-P. Yvon Forcier, décédé dans l’incendie du Collège du Sacré-Cœur, ainsi que 17 images pieuses, dont certaines soulignent des ordinations sacerdotales de confrères. Les objets comprennent un écusson en feutrine intitulé «Champions 55-56 – Belleslettres», une plaque d’immatriculation à l’effigie de la Garde Saint-Denis-sur-Richelieu inc. et un ruban comportant une breloque et un macaron du Parti Québécois.

Ce fonds est divisé en cinq séries qui témoignent de la vie administrative et financière, ainsi que des activités organisées par les Loisirs Douville. La première série comprend les documents constitutifs de l’organisme, comme les lettres patentes et les règlements. On y retrouve également les procès-verbaux des assemblées générales annuelles et des conseils d’administration, ainsi que leurs documents afférents. Cette série contient aussi plusieurs rapports administratifs, comme ceux de la commission consultative des loisirs de Saint-Hyacinthe (1979-1980) ou encore celui sur l’élaboration d’une politique de gestion des espaces publics pour la ville de Saint-Hyacinthe (mai 1991). La première série de termine par des documents relatifs aux ressources humaines en lien avec les demandes des Loisirs Douville adressées au ministère de l’emploi et de l’immigration du Canada concernant le « Défi – Emploi d’été/Expérience de travail ». La seconde série comprend les rapports financiers des Loisirs Douville, ainsi que les budgets annuels. Il y est question également des grands livres comptables et des documents relatifs aux prêts d’honneur de l’organisme. La troisième série témoigne de la gestion des ressources mobilières et immobilières des Loisirs de Douville en lien notamment avec le terrain de baseball, le casse-croûte et les différents bâtiments que possède l’organisme. La quatrième série comprend des bulletins d’information et des dépliants publiés par les Loisirs Douville. On retrouve aussi dans cette série les documents relatifs aux démarches des Loisirs Douville afin de présenter sa candidature au Gala des Affaires 1992 organisé par la Chambre de Commerce du district de Saint-Hyacinthe et des coupures de presse en lien avec les activités et événements organisées par les Loisirs Douville. La cinquième et dernière série comprend les programmations saisonnières des Loisirs Douville. Également, elle contient les documents relatifs à l’organisation des Semaines de relâche, aux Tournois provinciaux de baseball moustique, à la danse sociale et au Ballet-Jazz, ainsi qu’à diverses autres activités, comme le Carnaval de Douville. Cette série comprend finalement de nombreuses photographies portant sur ces différentes activités.

Ce fonds témoigne de la vie active d’Augustin-Norbert Morin, qui fut journaliste, patriote, avocat, colonisateur, juge et homme politique au milieu du XIXe siècle. Les documents regroupent des témoignages de sa vie personnelle, de ses exploitations agricoles dans le comté de Bellechasse et surtout dans les comtés du Nord de Montréal, de son expertise à titre d’avocat et juge et particulièrement à titre de commissaire à la codification des lois civiles du Bas-Canada, de son expérience politique à titre de patriote, de député, d’Orateur à l’Assemblée législative et de co-premier ministre avec Francis Hincks, et finalement de son intérêt pour l’enseignement des sciences (malheureusement sans suite) et du droit, qu’il exercera au sein de l’Université Laval à Québec. Un dernier dossier regroupe les publications ayant traité de la vie d’Augustin-Norbert Morin, sous forme de monographie, articles de revues ou de journaux.

Ce fonds témoigne de la vie quotidienne au Séminaire de Saint-Hyacinthe et de l’implication d’un des professeurs les plus appréciés de ses élèves au XIXe siècle. Outre les précieuses chroniques du Séminaire de Saint-Hyacinthe de 1849 à 1897, le fonds contient des notes de cours, des pièces de théâtre, des sermons et réflexions à caractère religieux et de la correspondance. Parmi celle-ci, on retrouve de touchantes lettres de ses collègues d’études au Séminaire qui sont témoins des rébellions de 1837 à 1839, tels Jacques LeMoyne de Martigny, Isaac Marchesseau et Lactance Papineau. On trouve aussi des lettres de Louis-Antoine Dessaulles, Michel Quintal, curé de Saint-Damase, Honoré Mercier et Mgr Alexandre Taschereau, ainsi que plusieurs communications avec d’anciens élèves du Séminaire qui ont fait leur marque dans la société, dont Thomas-Alfred Bernier qui œuvre au Manitoba et Oscar Dunn, qui lui dédicace un exemplaire de son «Glossaire franco-canadien et vocabulaire de locutions vicieuses usitées au Canada». Finalement, son intelligence est appréciée par le monde du journalisme et Joseph-Édouard Cauchon le sollicitera à quelques reprises pour avoir son opinion sur le système scolaire et la politique. Mais Tétreau préférera s’impliquer plus discrètement en économie sociale et sera derrière plusieurs projets initiés par ses anciens élèves.

Ce fonds offre un témoignage indéniable de la vie tumultueuse de Jérôme-Adolphe Chicoyne qui, de 1868 à 1910, sera tour à tour avocat, colonisateur, journaliste et rédacteur en chef, puis maire de trois municipalités dont la ville de Sherbrooke, où il s’est établi, et enfin député de Wolfe. À ce dernier titre, il s’impliquera dans plusieurs dossiers importants, soit l’agriculture, la colonisation, l’enseignement et les tribunaux, et plusieurs projets de lois dont ceux de la conciliation, de la protection du colon et du bien de famille (homestead) et la réforme des tribunaux judiciaires. Jérôme-Adolphe Chicoyne a été un des précurseurs du mouvement coopératif grâce à son expérience de colonisateur, constamment au fait de la situation précaire des colons et souhaitant le développement d’un territoire magnifique que constitue les Cantons de l’Est. Il saura utiliser ses ressources journalistiques pour passer ses messages, en sachant reconnaître ce que la loi lui permet. Par contre, son aventure avec le groupe de Nantais et les Pères Trappistes sera catastrophique. Le fonds contient des documents représentatifs de ces différentes expériences dont une volumineuse correspondance avec sa famille, ses amis et collègues de travail, dont Olivar Asselin, L.B. Bélanger, Henri Bourassa, L.O. David, Oscar Dunn, Ferdinand Gagnon, Honoré Mercier, Benjamin Sulte, Jules-Paul Tardivel, l’abbé François Tétreau, Pierre Vaillant et Gustave Vekeman. Ses voyages en Europe l’amèneront à se questionner sur ses origines et à établir des contacts avec les Chicoine de la France, permettant de constituer un dossier généalogique intéressant. On retrouve de la documentation sur son expérience d’avocat et de colonisateur, ainsi que de nombreux dossiers journalistiques contenant ses écrits et traitant différents sujets qui le préoccupent, surtout en ce qui a trait à la politique. Son expérience politique est documentée par des notes personnelles et plusieurs documents officiels publiés par le gouvernement, dont les projets de lois sur lesquels il a travaillé. Finalement, le fonds regroupe des articles biographiques dont quelques-uns sur le rôle de J.A. Chicoyne dans le développement du mouvement coopératif au Québec.

Ce fonds témoigne de la rigueur scientifique et du professionnalisme de l’abbé Isaac-Stanislas Désaulniers en ce qui a trait non seulement à sa vocation religieuse mais à sa capacité de transmettre son savoir philosophique autant aux élèves du Séminaire de Saint-Hyacinthe qu’à travers ses sermons et les conférences qu’il a effectués à Montréal. Son excellente réputation l’amène à effectuer un voyage à travers l’Europe et le Proche-Orient avec un de ses anciens élèves (et futur politicien renommé) Louis-Rodrigue Masson, aux frais de ses parents. Sa conviction religieuse l’a mené jusqu’en Illinois où Mgr Ignace Bourget, évêque de Montréal, l’envoie afin de «redresser les torts» de l’abbé Charles Chiniquy. Il sera si efficace à convaincre la population de ne pas suivre cet homme que Bourget ferme le dossier sans pour autant permettre à Désaulniers de revenir au Québec. Ce dernier devra demander l’intervention de Mgr Joseph-Sabin Raymond, alors Grand Vicaire du diocèse de Saint-Hyacinthe, pour qu’il puisse revenir et continuer ses mandats de professeur de philosophie et de supérieur au Séminaire de Saint-Hyacinthe. Le fonds regroupe donc quelques documents personnels, dont une correspondance avec son frère François Désaulniers, professeur au Séminaire de Nicolet, une volumineuse documentation sur la religion comprenant des transcriptions du latin au français de plusieurs documents religieux importants, comprenant les épitres de saint Paul et l’évangile de saint Mathieu, le catéchisme, l’œuvre de Melchior Cano et un des textes les plus marquants pour Désaulniers : La Somme contre les gentils de saint Thomas d’Aquin, ainsi que deux dossiers concernant l’implication de Désaulniers dans la controverse créée par Charles Chiniquy et, dans une moindre mesure, Louis-Antoine Dessaulles. On trouve aussi une importante documentation sur le contenu des cours de philosophie, de théologie et de sciences donnés par l’abbé Isaac Désaulniers, à travers l’écriture de ses élèves qui ont conservé leurs notes. On trouve même les notes de cours de Jérôme-Adolphe Chicoyne, futur journaliste et politicien. Une série regroupe la documentation sur le voyage en Europe de 1852-1854 et surtout, les intéressants carnets de voyage écrits par Désaulniers et détaillant tout le chemin parcouru à partir de l’Angleterre jusqu’à l’Allemagne en passant par l’Égypte, tandis qu’une autre série nous présente plusieurs textes manuscrits comprenant les conférences, discours, allocutions et analyses de Désaulniers. Finalement, on retrouve des publications sur l’abbé Isaac-Stanislas Désaulniers sous la plume de Louis-Olivier David, les abbés Émile Chartier et Lucien Beauregard, ainsi que le professeur Yvan Lamonde.

Ce fonds est divisé en trois séries qui témoignent de la vie personnelle et sacerdotale de l’abbé Guy Joyal. La première série comprend des éléments relatifs à la vie personnelle de Guy Joyal, comme des documents liés à son éducation et à ses années passées aux petit et grand Séminaires de Saint-Hyacinthe, des documents relatifs à sa famille, ainsi que de la correspondance entre Guy Joyal et différents membres de sa famille, notamment avec ses parents lorsqu’il était pensionnaire. Des photographies relatives à sa vie étudiante et à sa famille complètent cette première série. La seconde série porte sur la vie sacerdotale de Guy Joyal, comme de la correspondance, des documents relatifs à divers événements sacerdotales, par exemple : son ordination ou encore son 25e anniversaire sacerdotale. Cette série comprend également les publications de l’abbé Guy Joyal, ainsi que plusieurs documents photographiques et autres supports audio/visuels relatifs à sa vie sacerdotale. La troisième et dernière série regroupe différentes collections de documents et d’objets aillant appartenus à Guy Joyal, comme des programmations de spectacles, des buvards publicitaires et des cartes postales.

Ce fonds témoigne des activités professionnelles et bénévoles du juge Victor Chabot. Il comprend un texte de pièce de théâtre, de la correspondance, des coupures de presse, des photographies et diapositives, un factum d’initié, des allocutions, des discours, des présentations, des textes de conférences, des tracts, des essais, des dépliants, des rapports, des paroles de chansons, un budget, des historiques, des chèques, des listes, un carton d’invitation, des numéros du journal Le Métronome, des textes d’entrevues, un ordre du jour, les résultats d’une campagne de souscription, des reçus et formulaires pour dons, des programmes-souvenirs, des tracts et des essais rédigés par différents auteurs.

Ce fonds témoigne de la vie administrative et financière, ainsi que de la gestion de l’équipe de hockey midget AAA Les Gaulois de Saint-Hyacinthe. Le fonds touche principalement aux années d’activités de l’équipe soit de 1996 à 2013. L’équipe des Gaulois a voyagé sur tout le territoire québécois afin d’affronter les équipes de la Ligue midget AAA du Québec de la saison 1997-1998 à la saison 2012-2013. Durant cette période, l’équipe est domiciliée à l’aréna L.-P. Gaucher de Saint-Hyacinthe. Le fonds est divisé en cinq séries : administration, finances, communication et information, gestion de l’équipe des Gaulois et Ligue midget AAA. Dans la série gestion de l’équipe des Gaulois, des documents font état de certains joueurs des Gaulois de St-Hyacinthe qui ont percé dans la Ligue nationale entre 1997-2013, dont Kevin Bergin (saisons 1997-1998 et 1998-1999), Bruno Gervais (saisons 1999-2000 et 2000-2001), Maxime Talbot (saison 1999-2000) et Kristopher Letang (saisons 2002-2003 et 2003-2004). La série administration et communication et information comprend des documents relatifs à la création de l’équipe, dont les procès-verbaux et des coupures de presse faisant état du déroulement. De plus, le fonds se compose de documents audiovisuels, photographiques, iconographiques, ainsi que d’objets.

Ce fonds est divisé en neuf séries qui témoignent de l’histoire administrative de la Fabrique de la Paroisse Précieux-Sang (La Providence). La première série comprend des éléments relatifs à l’administration de la fabrique, comme des documents liés à la fondation et à l’érection canonique de la paroisse. La seconde série porte sur la gestion des ressources financières de la fabrique. Nous y retrouvons entre autres des documents relatifs à la comptabilité, aux registres des messes, aux différentes activités de financement et aux états financiers. La troisième série concerne la gestion des ressources mobilières et immobilières de la fabrique. Nous y retrouvons des documents relatifs à l’achat et à la vente de terrains par la fabrique. Des documents concernant des travaux de construction et de réparation de l’Église complète la série. La quatrième série est en lien avec la gestion des ressources humaines. Il y est question entre autres de documents liés au mandat épiscopal et aux sacristains.
Portée et contenu (suite)
La cinquième série porte sur les ressources informationnelles de la fabrique. Nous y retrouvons un cahier des prônes du curé de la Paroisse et des semainiers paroissiaux. Il y a également divers documents photographiques relatifs à la fabrique, dont plusieurs photographies de l’église en construction, de la chorale masculine et d’événements organisés par la paroisse. Des documents relatant l’histoire de la fabrique et de la paroisse complète cette série. La sixième série concerne les relations internes et externes de la fabrique. Nous y retrouvons la correspondance interne et externe, dont celle avec d’autres paroisses, avec le diocèse et avec des commissions scolaires. La septième série concerne les affaires juridiques de la fabrique. La huitième série est en lien avec les activités pastorales et liturgiques de la paroisse. Nous y retrouvons des documents relatifs aux sacrements, des cahiers de sépultures, des agendas des messes dominicales et une truelle utilisée lors de la bénédiction de la pierre angulaire de l’église. La neuvième et dernière série porte sur la de la vie pastorale de la paroisse. Nous y retrouvons des documents relatifs aux différentes chorales ayant œuvrées au sein de la paroisse, ainsi que des documents relatifs aux différents mouvements de spiritualité de la paroisse.

Ce fonds témoigne de la vie de Rodrigue St-Onge. Le fonds comprend un bulletin de 8e année de Rodrigue St-Onge ; un certificat d’admission au Club Philarmonique ; 2 photographies souvenir du pique-nique de Saint-Dominique de 1906 où on peut apercevoir Rodrigue St-Onge ; une photographie des employés de la Banque d’Hochelaga de Saint-Hyacinthe en 1913 où on peut apercevoir Rodrigue St-Onge ; une photographie de l’équipe de hockey de la Banque Nationale Canadienne en 1923 ; une photographie de deux couples inconnus sur le porche d’une maison ; une photographie d’un homme inconnu.

Ce fonds est divisé en six séries qui témoignent de la vie personnelle et professionnelle du couple de Jean-Paul Brouillette et de Lucille Baillargeon. La première série comprend des documents qui porte sur les fêtes du 2e centenaire de Saint-Hyacinthe, comme des éphémérides, des listes de membres et des photographies. La seconde série contient des documents liés à la Chambre de commerce des jeunes de Saint-Hyacinthe et comprend des photographies. La troisième série concerne la vie personnelle du couple et comprend surtout des photographies. La quatrième série concerne la Société philharmonique de Saint-Hyacinthe et comprend une photographie. La cinquième série porte sur la Chambre de commerce des jeunes de Joliette et comprend le programme de l’exposition commerciale et industriel organisée par le groupe, un discours donné par Jean-Paul Brouillette et des photographies de l’évènement. La sixième et dernière série concerne la vie professionnelle du couple et comprend des photographies, une coupure de presse et deux lettres.

Ce fonds est divisé en deux séries qui témoignent de la vie personnelle de Normand Bernier et de sa vie en tant que prêtre. La première série comprend des photographies et des documents textuels relatifs à la vie personnelle et au décès de Normand Bernier. La deuxième série comprend des photographies ainsi qu’un objet relatif à la vie sacerdotale de Normand Bernier.

Ce fonds témoigne de l’important héritage spirituel et littéraire de cet homme qui a su naviguer à travers les vagues de l’avènement des nouvelles idées religieuses et philosophiques du XIXe siècle et son enseignement dans les écoles et la communauté civile. À travers sa volumineuse documentation écrite, il est possible de saisir comment la culture littéraire et les penseurs modernes du XIXe siècle ont confronté la pensée ultramontaine face au libéralisme. Le fonds permet de faire un tour d’horizon des écrits de Joseph-Sabin Raymond, à partir de ses premières années d’enseignement au Séminaire de Saint-Hyacinthe, où il crée plusieurs pièces de théâtre, dans ses nombreux sermons et écrits personnels sur la religion, à travers les dissertations et entretiens écrits par Raymond mais présentés par les élèves du Séminaire lors d’exercices d’éloquence, ainsi que par ses articles de journaux, ses conférences et ses discours dont plusieurs ont été publiés. Parmi les créations les plus importantes, notons le Discours sur l’éloquence, Nécessité de la religion dans l’éducation, Devoirs envers le Pape et Nécessité de la force morale. On retrouve de la correspondance avec Joseph La Rocque, son ami le plus précieux avec qui il aura des affinités jusqu’à la fin, quelques personnages illustres dont Chateaubriand, Montalembert, Lacordaire, les papes Pie IX et Léon XIII, et Louis-Joseph Papineau (au sujet de son fils Gustave). On trouve aussi des éloges et oraisons funèbres en l’honneur de plusieurs personnages importants, dont Denis-Benjamin Viger, le comte de Montalembert, Antoine Girouard, Isaac-Stanislas Désaulniers et Alexandre Taché, ainsi que des écrits sur la fondation de l’oeuvre des soeurs Adoratrices du Précieux-Sang, la béatification de Jean-Jacques Olier, le retour des zouaves pontificaux et la venue à Saint-Hyacinthe des frères Dominicains. Finalement, des dossiers contiennent une documentation intéressante sur la polémique entre Raymond et Louis-Antoine Dessaulles de l’Institut canadien de Saint-Hyacinthe, la polémique sur la question des études classiques chrétiennes et laïques ainsi que l’autorité du Pape. Les photographies nous présentent Joseph-Sabin Raymond durant les vingt dernières années de sa vie, tandis que les documents iconographiques sont des souvenirs pieux.

Ce fonds témoigne de la vie familiale et professionnelle de Pierre-Édouard Leclère, qui fut journaliste, chef de police, juge de paix, notaire et homme d’affaires impliqué dans la navigation commerciale pour l’industrie agricole de la grande région de Saint-Hyacinthe. Après avoir vécu une période à la fois palpitante et difficile durant les rébellions de 1837-1838, Leclère s’installe à Saint-Hyacinthe et devient un prospère homme d’affaires, faisant partie des notables maskoutains. Son épouse, Marie-Josephte Castonguay, reçoit en legs de sa mère, de grandes propriétés foncières à Montréal, dont le verger Castonguay, qui passera à l’histoire judiciaire de Montréal, puisqu’il sera le sujet de poursuites judiciaires intentées par l’homme d’affaires et maire de Montréal Jean-Louis Beaudry. Ce sont les enfants Leclère, et plus particulièrement l’avocat Pierre Boucher de La Bruère, marié à Victorine Leclère, qui suivra le dossier de près, puisqu’il est mandaté pour représenter la famille. Le fonds contient des documents familiaux relatifs à Pierre Leclère dit Lafrenaye et son épouse Marie-Anne Bourg ainsi que Jean-Baptiste Castonguay et son épouse Marie-Josephte St-Germain dite Gauthier; une volumineuse correspondance entre les enfants Leclère et le règlement des successions de Charles et François Adolphe. On trouve aussi des documents reliés aux finances, aux propriétés immobilières, au décès, aux funérailles et à la succession de Pierre-Édouard Leclère. La série sur le journalisme comprend quelques documents sur les transactions d’achat des imprimeries et surtout de la documentation sur les différentes controverses créées à la suite d’articles parus dans «L’Ami du peuple», dont le duel entre Rodier et Leclère, et de la correspondance avec Alfred Rambau. La série sur la justice comporte quelques documents sur l’implication de Leclère durant les rébellions de 1837-1838, mais surtout des dossiers relatifs à son travail de notaire, dont la succession de l’avocat Dominique-Benjamin Rollin. La série sur les règlements judiciaires comporte une volumineuse documentation sur Jean-Baptiste Castonguay et la succession Castonguay, comprenant les nombreux documents légaux et correspondances au sujet des différentes propriétés à Montréal. On trouve aussi les dossiers des différentes poursuites judiciaires impliquant la famille Leclère, dont celles qui les opposent à Jean-Louis Beaudry, conservés par l’avocat Pierre Boucher de La Bruère. Le fonds contient finalement des documents relatifs aux différentes publications sur Pierre-Édouard Leclère, dont l’importante recherche historique de Montarville Boucher de La Bruère, qui a servi à la rédaction du texte biographique de Francis-J. Audet paru dans «Les Cahiers des Dix» en 1943, ainsi que des recherches effectuées par l’abbé Léo Sansoucy.

Ce fonds est divisé en 5 séries qui témoignent de la vie et des activités du chanoine Godfroy Lamarche. La première série comprend des documents écrits et rassemblés par le chanoine qui entourent la théorie canonique et sa mise en application. La deuxième série contient des documents qui porte sur les opinions et les implications politiques du chanoine. La troisième série contient des documents personnels du chanoine comme son certificat de baptême, un extrait de son testament, ainsi que des documents qui porte sur ses propriétés comme des actes notariés et des correspondances. La quatrième série contient un grand nombre de correspondances avec différents individus, notamment, Louis-Antoine Dessaulles, Gédéon Ouimet, le curé Labelle, l’évêque de Montréal Ignace Bourget, ainsi qu’une lettre provenant de Louis Riel adressée à Mgr Bourget. La cinquième série porte sur les études et le travail d’enseignement du chanoine Lamarche. La série contient des notes sur différents sujets militaire, historique, ainsi que des documents qui porte sur son travail d’enseignement au Séminaire de Saint-Hyacinthe.

Ce fonds témoigne de l’évolution importante des sciences à la fin du XIXe et au début du XXe siècle et de l’intérêt prononcé que Mgr C.-P. Choquette démontrait pour ce domaine, soit la chimie, la physique, l’astronomie et l’électricité. Le fonds comprend de la correspondance, des coupures de presse, des notes manuscrites et dactylographiées, des manuscrits, des documents photographiques, des documents iconographiques, des coupures de presse, des livres et différents textes publiés par Mgr Choquette, ainsi que différents objets que Mgr C.-P. Choquette avait conservés en souvenir.

Ce fonds témoigne de la vie personnelle et publique de quatre générations de Boucher de La Bruère : le colonel René (1770-1855), le médecin Pierre-Claude (1807-1871), l’avocat et journaliste Pierre (1837-1917) et finalement le journaliste et archiviste Montarville (1867-1943). Ces quatre hommes ont conservé de la documentation sur leur vie privée, soit de la correspondance, des documents financiers et plusieurs informations pertinentes sur les biens immobiliers qu’ils ont possédés au cours du XIXe siècle, surtout dans la région de Saint-Hyacinthe, où la famille Boucher de La Bruère s’est installée au début des années 1830. Les documents témoignent surtout de la vie publique de Pierre Boucher de La Bruère, qui s’est impliqué dans la vie sociale et économique de Saint-Hyacinthe grâce à son travail d’avocat, de juge de paix et de journaliste au Courrier de Saint-Hyacinthe et à son intérêt pour le développement économique et éducationnel de son milieu. On retrouve aussi des échanges de correspondance durant les périodes où il fut Orateur au Conseil législatif avec, entre autres George-Auguste Gigault, et Surintendant de l’Instruction publique à Québec. Le fonds regroupe aussi des exemplaires des publications de Pierre Boucher de La Bruère, s’intéressant particulièrement à l’histoire et l’éducation. Finalement, on trouve quelques photographies personnelles de Pierre et ses enfants Marie-Louise et Montarville Boucher de La Bruère.

Ce fonds témoigne de la vie sacerdotale du chanoine Jean-Baptiste-Arthur Allaire, de son intérêt pour l’histoire et l’agriculture et de son implication dans le mouvement du coopératisme agricole. Il comprend de la correspondance, des coupures de presse, des notes manuscrites et dactylographiées, des photographies, des ouvrages et articles écrits par le chanoine Allaire et publiés, des documents notariés, des cartes, des illustrations, des recensements, un journal, un mémoire, des reçus, des publicités, des brochures, un arbre généalogique et des formulaires complétés, des matrices d’imprimerie et des calendriers.

Le Studio Candide possède un rayonnement important puisqu'il retrace la vie sociale, économique, politique et culturelle du milieu entre 1950 et 1990. Ce fonds est un élément primordial pour imager l'histoire maskoutaine et régionale. Le fonds comprend des photographies et négatifs, ainsi que des documents textuels lié à la gestion des commandes de photographies, comme de la correspondance, des factures et des fiches techniques. Les documents sont regroupés sous trois séries : Série 1 – Individus, famille et portraits : 8 564 enveloppes (environ 85 640 pièces); Série 2 – Mariages : 2 194 enveloppes (environ 21 940 pièces); Série 3 – Événements, groupes et immeubles : 21 706 documents photographiques.

Ce fonds est divisé en cinq séries qui témoignent de la gestion de l’organisme et de ses activités. La première série comprend des documents administratifs du Cercle d’économie domestique La Cathédrale, de l’Afeas La Cathédrale, de l’Afeas Douville et de l’Afeas Saint-Hyacinthe, tels que des procès-verbaux du conseil d’administration ; des comptes rendus ; des photographies liées au comité Art ménager, artisanat et culture. La seconde série contient des documents relatifs à la gestion financière des Afeas La Cathédrale et Saint-Hyacinthe, tels que des journaux comptables ; des conciliations bancaires ; des bilans ; des états des revenus et dépenses ; deux factures d’assurance. La troisième série comprend des documents relatifs aux membres, tels que des formulaires d’adhésion complétés ; des listes de membres ; un cahier dans lequel sont indiqués les noms des membres ainsi que leur présence aux assemblées mensuelles ; une coupure de presse. La quatrième série est composée de documents relatifs à la gestion des communications, tels que des photographies des deux premiers conseils d’administration, des congrès et des anniversaires ; de la papeterie ; des certificats de félicitations ; des cartes d’invitation ; un texte informatif ; des paroles de chanson ; un article concernant le concours Singer 1968 ; un ruban souvenir ; des dépliants ; des menus ; un livre d’or ; des coupures de presse. La cinquième et dernière série comprend des documents relatifs à la participation de l’Afeas La Cathédrale et de l’Afeas Saint-Hyacinthe au gala Femmes d’influence et à leur participation à la journée contre l’intimidation, tels que des coupures de presse ; de la correspondance ; des publicités ; un extrait d’un procès-verbal.

Ce fonds est divisé en six séries qui témoignent de la vie sacerdotale du chanoine Roland Frigon. La première série comprend les activités que le chanoine à fait au cours de sa vie dont des registres de note de cours de l’école d’action ouvrière ; des comptes-rendus des journées sacerdotales ; un mémoire annuel de la confédération des travailleurs catholiques du Canada au cabinet provincial ; des bulletins d’étude et des documents sur le service d’éducation du CTCC ; un recueil de documents sur la grève de l’amiante ; de la documentation sur le travail et les syndicats ; un rapport annuel de l’union régionale de Saint-Hyacinthe des caisses populaires Desjardins ; des documents liés à la l’Union catholique des cultivateurs (UCC) ; des comptes-rendus des congrès des aumôniers des associations patronales et ouvrières ; 10 diapositives ; deux tableaux de reconnaissances. La seconde série contient des documents liés à la gestion de l’organisation Caritas dont un registre comprenant des procès-verbaux des assemblées et des comités exécutifs et des états financiers ; un rapport des activités ; un registre sur la campagne des charités diocésaines de 1958 ; une assemblée du comité consultatif général ; des documents relatifs au comité de la constitution de Caritas-Canada ; des documents relatifs au service d’aide familiale ; de la correspondance ; des formulations de propositions acceptées ; un document sur le but de Caritas ; des documents relatifs à des plans de travail ; des projets de rapport des réunions tenues au secrétariat national ; des aide-mémoires concernant les réunions ; des rapports ; des documents liés à Caritas internationalis. La troisième série contient des documents relatifs à la gestion du Service social diocésain de Saint-Hyacinthe dont un registre comprenant entre autre des procès-verbaux des assemblées et des conseils d’administration et des budgets ; un document sur les minutes de la réunion du 19 juin 1963 ; une liste des membres du personnel ; deux rapports sommaires d’activités ; deux comptes-rendus ; une carte du diocèse de Saint-Hyacinthe ; une carte des cantons de Ely, Stukely et Balton ; des documents liés à l’abbé Favreau dont des documents liés à ses cours de science sociale à l’université ; de la correspondance ; des conférences de presse ; des octrois ; un certificat de juge de paix au chanoine Roland Frigon ; des états financiers comprenant entre autre des bilans, des actifs et passifs, des états des revenus et dépenses et des états des recettes et débourses ; un registre sur les coûts d’ameublement du service social un budget ; un journal de paie ; des comptes à recevoir. La quatrième série contient des documents liés à la fédération des œuvres dont un rapport annuel de la fédération des œuvres du diocèse de Saint-Hyacinthe ; un registre sur les campagnes de souscription ; un discours de l’honorable John Munro pour la fédération des œuvres de Galt (Ontario). La cinquième série contient des documents sur l’éducation dont des manuels de cours et de la documentation en liens avec les cours. La sixième et dernière série contient de la documentation concernant des organismes et commerces des municipalités de Sainte-Brigide-d’Iberville et de Frelighsburg, dont des livres de comptes de marchands ; des index ; des cahiers de cotisation de l’union Saint-Joseph pour la souscription de Frelighsburg.

Ce fonds témoigne de la vie de Laurent-Jules Chicoine. Il comprend un extrait de l’acte de baptême de Laurent-Jules Chicoine certifié en 1929; les seize pages d’un bref journal écrit du 26 au 31 octobre 1931 par Laurent-Jules Chicoine sur les conseils de Mgr Charles-Philippe Choquette; un contrat de vente d’un terrain par Domina Bachand à son fils Roméo Bachand le 9 mars 1937; un extrait de l’acte de mariage de Laurent-Jules Chicoine et Irène Dion; un contrat de vente d’un terrain par Roméo Bachand à Laurent-Jules Chicoine le 20 juin 1939; une convention pour la construction d’une résidence entre Laurent-Jules Chicoine et l’entrepreneur Hormidas Gilbert le 9 octobre 1939; une copie du testament de Michel Dion, oncle d’Irène Dion, épouse de Laurent-Jules Chicoine qui est l’une de ses légataires; une copie du règlement de la succession de Michel Dion datée du 3 novembre 1964; une photographie datant de 1937 de Laurent-Jules Chicoine et de son épouse Irène Dion; une photographie datant de 1938 de Laurent-Jules Chicoine et de son épouse Irène Dion; une photographie datant de 1939 de Laurent-Jules Chicoine, son fils Roger, sa mère Laura Fontaine et sa grand-mère maternelle; une photographie datant de 1944 de Laurent-Jules Chicoine et ses deux fils Roger et Robert; une photographie datant de 1947 de Roger et Robert, les deux fils de Laurent-Jules Chicoine; une photographie non datée de Jules Laframboise, oncle de Laurent-Jules Chicoine avec un enfant non-identifié; un ruban jaune de la Maison Casavant Frères en hommage à deux retraités dont Élias Chicoine.

Ce fonds est divisé en 8 séries qui témoignent de la vie des familles Labonté et Charpentier. La première série contient les photographies de la famille Labonté. La seconde série contient les photographies des familles Gaudette et Courtemanche, liées à la famille Labonté. La troisième série contient les photographies de la famille Poitras, liée à la famille Labonté. La quatrième série contient les photographies de la famille Charpentier. La cinquième série comprend les photographies de la famille Archambault, liée à la famille Charpentier. La sixième série contient les photographies des familles Lamothe, Harnois, Séguin et Casavant, liées à la famille Charpentier. La septième série contient les photographies de parents et amis des diverses familles que l’on retrouve dans le fonds. La huitième et dernière série contient les photographies de personnes non-identifiées.

Ce fonds est divisé en trois séries qui témoignent de la vie familiale, militaire et professionnelle de Gilles Lapierre. La première série comprend des photographies de Gilles Lapierre et de sa famille. La seconde série contient des photographies de Gilles Lapierre alors qu’il était pensionnaire au Collège de Farnham. La troisième série illustre la vie militaire et professionnelle de Gilles Lapierre.

Ce fonds témoigne de la vie d’un médecin dont la sensibilité s’exprime à travers l’art, dès ses années d’études au Séminaire de Saint-Hyacinthe. Suivant les traces de son père et de deux de ses frères (Jean et Jules), il pratique la médecine à Saint-Hyacinthe et particulièrement la chirurgie à l’ancien et au nouvel Hôpital Saint-Charles. Nommé coroner en 1937, il aura la lourde tâche d’enquêter sur l’incendie du Collège du Sacré-Cœur en janvier 1938, où 46 personnes ont perdu la vie, dont 41 enfants. L’année suivante, il démissionne de son poste et retourne à son premier mandat de médecin et chirurgien. À partir de 1957, il œuvre au sein de La Survivance compagnie d’assurance-vie et y demeurera durant plus de 25 ans. En parallèle, il développe son goût pour la peinture et s’illustre lors d’expositions à Saint-Hyacinthe et ailleurs au Canada, notamment au sein du Physician’s Art Salon où ses toiles sont primées et publiées dans des calendriers et une revue produite par The American Physicians Art Association. Apprécié par la population maskoutaine, il exposera à plusieurs reprises à Saint-Hyacinthe, non seulement dans sa clinique privée mais également au Séminaire de Saint-Hyacinthe et à l’Hôpital Honoré-Mercier. À partir des années 1940, il consacre ses vacances d’été à la pêche en louant un chalet (qu’il achètera plus tard), avec ses frères et sœurs, situé à Notre-Dame-de-Pontmain, près de Mont-Laurier. Le fonds contient surtout des documents personnels et financiers de Paul Morin ainsi que des témoignages de ses relations avec les membres de sa famille, y compris une intéressante documentation professionnelle de son grand-père maternel, le médecin Charles Lescault qui œuvra à Saint-Charles-sur-Richelieu durant le dernier tiers du XIXe siècle. Quelques documents nous permettent de mieux saisir la pratique médicale du Dr Paul Morin, notamment durant la courte période où il fut coroner. Une série sur les arts témoigne de son talent indéniable en dessin, notamment lors d’un exercice amusant de caricatures de ses confrères de classe de rhétorique, où on reconnaît le ténor Paul Dufault. On trouve aussi des croquis, dessins et des dossiers présentant les différentes expositions auxquelles il a participé. Finalement, on retrouve un touchant journal de vacances au chalet de Pontmain ainsi qu’un carnet des visiteurs, complétés au fil des années de fréquentation durant plus de 25 ans. Les nombreuses photographies nous permettent de voir les membres de la famille Morin qui ont gravité autour de Paul Morin durant son enfance à Saint-Jude jusqu’à la retraite à Saint-Hyacinthe et même au chalet de Pontmain, ainsi que des portraits des familles Lescault et Connell qui, malheureusement, ne sont pas toutes identifiées. On trouve aussi des photographies de la vie professionnelle du Dr Paul Morin, dont l’hôpital Saint-Charles de Saint-Hyacinthe et quelques événements mondains dans le cadre des activités de La Survivance. De plus, on retrouve quelques photographies des toiles de Paul Morin, peintre.

Le fonds est divisé en fonction de ses différents supports, soit des épreuves photographiques, des négatifs sur verre et des négatifs souples; le tout regroupé selon leur taille. Le fonds comprend environ 80 000 négatifs de 1897 à 1986, dont plusieurs centaines de négatifs sur verre ; environ 20 000 épreuves noir et blanc de tout format. Le fonds compte également quelques 1 170 objets, en outre : 8 caméras professionnelles, 9 caméras d'amateur, 14 accessoires d'éclairage, le mobilier destiné à la prise de photographie, des éléments de décor, des accessoires de chambres noires, de retouche, les toges de finissants, plus d'un millier de numéros de revues américaines, canadiennes et européennes traitant de photographie, des guides d'utilisation, des documents promotionnels et des catalogues. Le fonds Studio B.J. Hébert demeure à ce jour le plus ancien fonds photographique de la région à avoir été conservé. Il est un exemple pour l'histoire de la photographie au Québec surtout qu'il ne comprend pas uniquement la collection photographique mais également les objets ethnographiques.