Le fonds témoigne modestement de la vie de Floris Tremblay, et plus particulièrement de son talent artistique de compositeur, en parallèle de sa vie professionnelle. Le fonds comprend des reproductions de documents officiels relatifs au baptême et mariage de Floris Tremblay et Lucinda Pelletier, une courte biographie manuscrite, écrite par leur fille Gisèle Laberge, et une coupure de presse du journal La Patrie du 15 décembre 1956, décrivant le tragique accident. On trouve aussi les quelques compositions de Floris Tremblay, sous forme de paroles de chansons, dont «L’Hécatombe du Collège Sacré-Cœur». Un original comporte son nom et son adresse sur la rue St-Louis, tandis qu’une autre version ne comporte que la mention «St-Hyacinthe, Qué.». On mentionne le texte, sous le titre «La Complainte du Collège Sacré-Cœur» dans «Le Catalogue de
Floris TremblayIncendie
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Le fonds témoigne, par le biais de photographies, de certains événements importants survenus à Saint-Hyacinthe entre 1944 et 1952. On y retrouve des clichés des arcs monumentaux temporaires installés dans les rues de Saint-Hyacinthe à l’occasion du Congrès Eucharistique Diocésain de Saint-Hyacinthe tenu du 21 au 25 juin 1944; d’un important feu ayant ravagé quelques pâtés de maisons sur la rue Cascade en 1944; de l’exposition d’un avion et d’armements militaires au marché centre de Saint-Hyacinthe dans le cadre des activités d’une Campagne d’Emprunt de la Victoire; d’un défilé militaire; du Théâtre Maska; d’arcs monumentaux temporaires érigés lors des célébrations du Centenaire du Diocèse de Saint-Hyacinthe, en 1952, et du 50e anniversaire de l’hôpital Saint-Charles en 1952 également.
Ambroise GuilbaultCe fonds est divisé en deux séries qui témoignent de la vie personnelle de Georgette Corbeil et d’Antonacien Martel. La première série concerne des photographies des vestiges de l’église de Saint-Césaire après le feu du 28 septembre 1985. Nous y retrouvons également une entente de travail entre la Penman’s et le Syndicat national du Tricot Inc. de 1955 à 1957. La seconde série regroupe des bobines de films et des vidéocassettes de divers événements filmés par Antonacien, comme des voyages, des fêtes familiales ou encore des moments de la vie quotidienne.
Georgette CorbeilLe fonds témoigne de la vie professionnelle et familiale de l’abbé Jean Corbeil. On y retrouve huit photographies du feu qui a détruit l’église de Saint-Hugues le 6 avril 1979. La foudre serait à l’origine de cet incendie. Le fonds comprend également une peinture de Jean Corbeil, réalisée par Gérard Breton en mai 2006. Le peintre lui aurait donnée en cadeau afin de souligner son 45e anniversaire de sacerdoce (CH201710-23a). Il y a aussi une crèche en plâtre ayant appartenue à Rosaline Lemonde Laliberté, née le 20 juillet 1893. Elle était la tante de Jeannette Guertin, la mère de Jean Corbeil (CH2017-10-23b). Le fonds est complété par un habit officiel des Chevaliers de Colomb (4e degré) ayant appartenu à Émile Corbeil, père de Jean. L’initiation d’Émile Corbeil aux Chevaliers eut lieu le 12 avril 1953 à l’hôtel Windsor de Montréal. L’habit comprend un chapeau haut-de-forme (qui est dans une boite de rangement), une veste, un pantalon et une cape (CH2017-10-24). Un programme de la célébration eucharistique des 50 ans de sacerdoce de Jean Coberil (29 mai 2011).
abbé Jean CorbeilN’hésitant pas à prendre ses photographies sous des angles inusités, notamment du sommet des toits, il capte sur pellicule, entre autres, l’Hôtel Ottawa ; le Marché ; la démolition des édifices derrière l’hôtel Ottawa et l’aménagement du terrain en stationnement ; le secteur de la pharmacie Jean Coutu ; des arrière-cours ; les berges de la rivière Yamaska ; le rues des Cascades. Son exploration des lieux l’amène à découvrir parmi les décombres de la Place Frontenac des ornements architecturaux de cet édifice ainsi que quelques photographies. Ce fonds est divisé en deux séries qui témoignent de l’intérêt du créateur du fonds pour cette partie de la ville de Saint-Hyacinthe qui est chère à son cœur, de l’aménagement urbain du centre-ville et des caractéristiques architecturales de ses édifices. La première série comprend des photographies. La seconde série contient des ornements architecturaux de la Place Frontenac.
Vues du centre-ville maskoutain